DM philosophie terminale
Dissertation : DM philosophie terminale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar matheooooo08888 • 16 Novembre 2022 • Dissertation • 1 150 Mots (5 Pages) • 331 Vues
Correction : La conscience fait elle de l’homme une exception ?
Jeudi 6 octobre 2022
Rappel de méthode :
- Aller à la ligne pour chaque élément de l’introduction,
- Il ne s’agit pas de sauter des lignes
- L’intro ne doit pas être un bloc.
- On commence par l’amorce
- On recopie le sujet à l’identique
- Ne pas reformuler la question de façon indirecte. La seule question possible, c’est la question du sujet.
Règle d’or : prendre en charge l’énoncé, l’examinateur doit deviner sur quoi on travaille et quel est le sujet. Attention la convention d’écriture est importante, on évite les phrases qui ne servent à rien. [pic 1]
Exemple de correction :
Décorticage : la conscience est la faculté de penser, de réfléchir, c’est donc une activité qui vient de l’Hô.
1er obstacle : la csce est une activité provenant de l’Hô, si on envisage l’Hô sans la pensée, c’est un objet, un végétal. Certes l’animal est doué de la conscience mais pas autant que celle que possède l’Hô.
La conscience alors ne peut pas rendre l’Hô hors normes car cela le défini pas essence. L’Hô est perfectible par sa conscience, le bébé est doté de la confiance en germe qui sera perfectible. La conscience fait partie de l’Homme, elle ne peut pas être considérée comme un élément extraordinaire. La conscience rend l’Hô extraordinaire, cela veut dire que la conscience est une spécificité, un attribut.
2ème obstacle : la conscience, c’est ce qui défini l’Homme en tant qu’être humain, ce n’est pas un défaut ou un atout
Attention, les phrases qui introduisent chaque partie doivent être explicites et pas réduites à un titre.[pic 2]
- L’homme parce qu’il est doté de ce pouvoir en lui et qui fait parti de lui, il est fait par essence pour ne pas sombrer dans des facilités, dans des certitudes.
L’Homme n’est pas à être admirer, la conscience fait partie de lui. Cela permet à l’Homme de ne pas sombrer dans ses certitudes.
- S’interroger sur ce qu’il est confére a l’homme un rang privilégié par rapport aux autres êtres vivants, les autres êtres vivants se contentent de l’immédiat. L’animal ne fait que subvenir à ses besoins, l’homme lui a des désirs en plus des besoins. L’Hô a des projets pour l’avenir, il n’est pas prisonnier de l’immédiat. Il est fait pour se poser des questions, Jaspers dans introduction à la philosophie, rend hommage au statut de l’Homme en tant qu’être pensant, pour Jaspers, l’Hô philosophe et cela fait partie intégrante de l’Hô.
- Comme il s’interroge, il est capable de ne pas sombrer dans ses certitudes mais il se doit moralement de répondre à ses actes, il évalue ses actes, ses paroles. Être moral est attendu. L’animal, lui, est imprévisible alors que l’Homme est réfléchi et c’est ce qui est attendu de l’Hô, afin qu’il soit à la hauteur de sa conscience. Il prend la mesure de ses paroles, il engage sa responsabilité. L’animal est dressé et l’Homme est éduqué, l’enfant qui non à ses parents c’est prcq il a réfléchi que ça l’embêtait. L’animal agit automatiquement, l’homme est autonome. Il ne s’agit en aucun cas, d’être admiratif de l’homme car il est doté de la conscience, ce sont les attendus minimum. L’animal n’a pas de remords, il ne comprend pas ses actes. L’Homme est capable de se maitriser.
Bilan : Finalement discerner le bien du mal revient à l’Homme, il est attendu de lui des décisions éclairées, l’animal lui est conditionné par se maitres, il écouté les ordres, sans moyens possibles d’appréhender et de comprendre la dimension significative des paroles de son maitre, il ne réagit qu’a des stimuli vocaux ou gestuels. L’homme lui, doit répondre moralement de ses actes en tant que sujet des ses actes.
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