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Le mensonge

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Par   •  6 Décembre 2018  •  Étude de cas  •  3 248 Mots (13 Pages)  •  669 Vues

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Le mensonge

Définition : le Larousse : le mensonge c’est l’assertion qui est sciemment contraire à la vérité faite dans la volonté de tromper : le discours avancé contre la vérité avec le dessin de tromper. L’erreur l’allusion

A partir au 12ème siècle. Est indissociable de la vérité ce a quoi l’esprit peut être et droit donner son assentiment. C’est la connaissance a laquelle on attribue sa plus grande valeur. La chose vraie l’opinion en terme de religion

L’interdiction du mensonge : prescription morale élémentaire : dieu si qu’on ne portera pas de mensonge = les 10 commandements. Même dans les notes pou enfants : pinochio. Un adulte ne doit pas non plus mentir.

Le mensonge peut être attribué a un comportement, pas forcément par la parole. Emerson : « es actes parlent si fort que je n’entend plus ce que tu dis » . Le fait de mentir suppose la connaissance de la vérité. Laquelle est problématique, au moment ou JC rend témoignage de la vérité « qu’est ce que la vérité »  lors de débat les participants s’accusant de mentir.

Démasquer le menteur est difficile et c’est l’objet d’un roman « Caspar Howser »  l’auteur met en seine Caspar qui se voit proposer cette énigme « si vous vous trouvez a un croisement de deux village : l’n ou tout les habitant disent la vérités et l’autre ou tous mentent  même réponse venant des habitants ». Il y a ce thème de mensonge démasqué. Très souvent, le mensonge va mettre en lumière la naïveté des hommes, i ne devrai être cru par personne. On a pu considérer que ceux qui croient le menteur sont aussi coupables que le menteur lui même. Les romains ont aussi mit en lumière cette volonté qu’avait les hommes d’etre trompés « le monde désir être trompé »  

Il est toujours difficile de combattre le mensonge. Le propre du mensonge est de se montrer rarement tel qu’il est. On le voit en littérature = très couvent précédé de phrases qui ont vocation a démontrer qu elle menteur ne ment pas « je vais être franc.. » Lafontaine montre un exemple de ce stratégie du menteur : le corbeau et le renard : « sans mentir … »

Cette dimension dissimulatrice du mensonge est parfaitement illustrée dans la figure du diable dans le nouveau testament : définit comme le père du mensonge. Pour autant, on a l’impression que le mensonge est indissociable de l’homme. Pour wanquelwitch ?  Le mensonge est l’expression de notre liberté d’expression : le mensonge est possible parce que l’homme est capable de liberté et de vérité.

I/.     La dimension morale de la question

        A.           Les condamnations religieuses

Dans Décalon il y a cette condamnation du faux témoignage. La Torah impose aux fidèles de s’éloigner du mensonge. Dans la religion chrétienne le mensonge est considéré comme un péché « que votre oui soit oui que votre non soit non, tout ce qui est rajouté est l’oeuvre du démon ». Dans le coran, le mensonge est aussi condamné dans la sourate 40 : dieu de dirige pas les pervers et les menteurs.

On trouve une réflexion des pères de l’églises comme chez Saint augustin = a la fin du 4ème siècle et duvet du 5ème siècle va régir deux ouvrages sur le mensonge. Pour lui le mensonge c’est avoir une pensée dans l’esprit et en énoncer une autre. Saint augustin va estimer que pour mentir il faut connaitre la vérité. Pour lui, le menteur a un coeur double : il a une pensée qu’il juge vraie mais qu’il garde pour lui et une seconde pensée, fausse, qu’il va exprimer. Saint augustin va être le premier a démontrer qu pour définir le mensonge il faut considérer l’intention de celui qui parle «c’est par l’intention de l’esprit qu’il faut juger si quelqu’un ment ou ne ment pas. ». Saint augustin estime que nous somme tous et en toutes circonstances dans l’obligation absolue de ne jamais mentir. L’argument qu’il va employer pour dissuader les menteurs va avoir bcp d’importance = le chrétien a deux vies : la vie temporelle et la vie éternelle. Bcp plus tard, un autre père de l’église va se pencher sur la question : Saint Thomas au 13ème siècle. Pou lui, là aussi, le mensonge est considéré comme mauvais pas nature. Pour lui, les mots ce sont des signe naturels, des pensées, donc c’est contre nature qu’on ne signifie pas ce que l’on pense. Il n’est jamais permis de dire un mensonge même pour sauver quelqu’un d’un danger.  il entrouvre une porte pour certain philosophe, si on a pas le droit de mentir, on peut dissimuler prudemment la vérité. Au Moyen-Âge on va voir apparaître des manuels casuistiques pour montrer des cas concrets dans lesquels one est dans le pêchés.

Un point évident, qu’il faut t’aborder lorsqu’on évoque la question du mensonge, a partir du Moyen-Âge, cette condamnation du mensonge s’inscrit dans un registre misogyne. Dans la bible c’est la femme qui va croire au mensonge du serpent.  La femme a partir de là va être souvent associée au mensonge. Dans un recueil de fable du 13ème siècle, on peut lire « face la femme le mensonge devient bientôt vérité et la vérité mensonge »  dans une satyre du 15ème siècle « il n’est si étrange mensonge que la femme le croit s’il est a sa morale ».  

        B.           Le point de vue philosophique

Montaigne va essayer de montrer que le mensonge rend difficile la vie en société. Le langage est un moyen de communication entre les hommes et le mensonge compromet a sa communication. On retrouve cette condamnation du mensonge dans Le menteur de Corneille = va montrer qu elle menteur dès lors qu’il est démasqué va perdre tout crédit. Proverbe allemand : « personne ne croit le menteur même quand il dit la vérité ».

Les philosophe se ont attaqués a la question : Locke va aborder cette question dans les deux traités sur le gouvernement. Il va placer le devoir de vérité parmi les composantes de la nature humaine. Il y a ce devoir de vérité. Le philosophe qui incarne le mieux la condamnation du mensonge est Kant. Le fait qu’il soit protestant n’est pas indifférent a son positionnement  Le mensonge est un crime social parce qu’il rompt la promesse implicite du langage = lorsqu’on parle on fait la promesse de dire la vérité. Pour lui, la véracité dans les déclarations est un devoir formel de l’homme envers chacun. Pour autant est ce que tout les mensonges sont blâmables ? Pas tout a fait selon Kant. Il reconnait que la vie sociale peut nous imposer des comportements non sincères. Il va recommander l’hypocrisie à des fins civilisatrices.

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