Cas Renault (management des entreprises)

Management Des Entreprises

Pages 42-43

1. La finalité de l’alliance Renault-Nissan est de rendre la mobilité durable accessible à tous, en commercialisant des véhicules électriques respectant l’environnement mais aussi abordables en termes de prix.
2. Les objectifs de Renault en matière de mobilité durable sont d’avoir un impact positif sur l’environnement en offrant des véhicules 100% et aussi de permettre aux personnes de se déplacés.
3. Carlos Ghosn a décidé, en 2008, de commercialiser des véhicules 100% électrique car il pense que ce type de véhicules peuvent avoir une ascension fulgurante sur le marché de l’automobile car non polluant et qu’ils répondent parfaitement à la problématique environnementale actuelle, tout en permettant les personnes d’avoir une voiture.
4. Ce choix s’avère être une erreur car les ventes de véhicules électriques ne décollent pas. Il prévoyait 1 million et demi de voitures vendues d’ici 2016.
5. Les éléments qui ont limités la rationalité de Carlos Ghosn dans cette décision sont qu’il voulait être le leader sur le marché des véhicules électrique, de plus il y a une absence d’infrastructures comme les bornes. Il y a aussi le prix élevé de ce type de véhicule et enfin l’autonomie et les performances en-deca de celles des véhicules « normaux ».
6. Renault a décidé, en 2013, de se lancer dans le développement de moteurs hybrides car d’un point de vue environnementale le moteur hybride a un impact moindre et aussi ils font un travail d’exploration sur le moteur hybride.
7. L’étape où se situe Renault dans le dossier des moteurs hybrides est au stade d’une identification de problème. Car, ils font des travaux exploratoires sur les technologies hybride.
8. Les étapes que Renault doit à présent aborder dans ce processus sont d’abord une recherche de solutions. Puis, choisir une solution. Dans ce cas Renault devra tenir compte de plusieurs contraintes tel que les contraintes financières, temporelles et organisationnelles.  Ensuite, il y a la mise en œuvre de la décision. Enfin, il y a un contrôle de l’efficacité.

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