Rin1008 travail noté 2 serie C
Étude de cas : Rin1008 travail noté 2 serie C. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar err123 • 4 Avril 2021 • Étude de cas • 6 472 Mots (26 Pages) • 958 Vues
RIN 1008 | TRAVAIL NOTÉ 2 |
Introduction aux relations industrielles Série C |
[pic 1] | RIN 1008 |
Introduction aux relations industrielles | |
Série C |
TRAVAIL NOTÉ 2
Table ronde 3 :
La formation continue des adultes et la formation tout au long de la vie
Partie 2 (10 points)
Compte-rendu des transformations
Identifiez deux (2) transformations principales ou mutations issus du contexte soit économique, soit démographique, soit social ou, encore, du marché du travail qui ont de possibles répercussions sur les besoins de formation des travailleurs.
Formation tout au long de la vie
Un premier grand changement de la société par rapport à la formation continu est que cette formation à maintenant muté vers ce que l’on pourrait appeler « une formation tout au long de la vie ». C’est une définition très large car elle fait partie du développement des compétences d’un individu du début de sa formation académique (DEP, DEC, bac, maitrise, etc.) à la poursuite de ses études durant sa vie professionnelle, à l’obtention d’un nouveau diplôme, au perfectionnement de ses connaissance par une formation spécifique. De plus, nous savons que de plus en plus de retraité et de personne âgé de 55 ans et plus, poursuivre leur formation par intérêt personnel. L’objectif individuelle de quête de formation étant de s’intégré comme citoyen à part entière et n’est plus limité. Comme à une certaine époque.
Comme le mentionne Luc Allaire, conseiller au Service de l’action professionnelle à la CSQ, il important que la personne soit formé pour comprendre le fonctionnement de la société. Il n’y pas de fin ou en fait très tard dans une vie, comme travailleur et comme chômeur et retraité que la formation continu fasse parti d’un processus continuel.
Madame Marie-Dominique Bélisle, conseillère en gestion des ressources humaines, de l’AQESSS, ajoute que dans les centre de soin de santé, de l’accueil au jour un, une formation est donné. L’objectif initiale est d’orienter spécifique l’arrivant afin d’accélérer et de facilité l’intégration. L’objectif étant de rendre ce nouvel employé productif et autonome le plus rapidement possible. Par la suite les centre de service individuellement facilité un retour à l’école favorisant une fin de diplôme ou l’obtention d’un nouveau, comme exemple une infirmière qui voudrait devenir une bachelière ou obtenir 2e cycle en sciences infirmières et en sciences médicales afin de devenir une infirmières praticiennes spécialisées (IPS).[1]
D’après monsieur Kamal El Batal, directeur général de la Société de formation et d’éducation continue (SOFEDUC), la formation continu qui est tout au long de la vie de l’individu, est un moyen, un mécanisme, une stratégie qui permet la mise à niveau de la compétence individuelle et collective d’une société. Cela produit un épanouissement organisationnel qui contribue et vient jouer un rôle important dans la société dans son ensemble. En plus, cette formation continue, permet la quête de la productivité, de l’efficience, de l’efficacité tant recherché par les entreprises. Entre autre, l’introduction de la loi du 1% sur formation de la main d’œuvre instauré en 1995 avait comme but d’instaurer cette culture de formation à vie.
Loi du 1%
Le second grand changement est la création en 1995 de la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre, reconnu sous l’appellation « Loi du 1% »[2]. Cette loi fut toute fois modifiée en 2007 et en 2016 afin de la rendre plus compatible avec les réels besoins en formation de toute la main d’œuvre. L’esprit du changement est de favoriser une formation continue axé sur la reconnaissance de l’ensemble de la main d’œuvre et non seulement de la haute direction.
Sachant que 49 % de la population québécoise adulte n’a pas, selon des études internationales sur l’alphabétisation, le niveau suffisant pour participer activement à une société du savoir. L’importance que le gouvernement à d’intégré de gré ou de force la notion de formation constante des individus auprès des entreprises est essentielle pour le bien être de ces derniers, pour organisation elle-même et pour l’ensemble de la société.
Comme mentionné par Luc Allaire de la CSQ, c’est une médication qui a pour but plus d’équité de tout le personnel en fonction de leur propre besoin de formation en continue. Tous n’ont pas les même besoin de formation en lien avec le travail, dans certain cas comme les professionnels de haut niveau il y a une obligation de formation afin de maintenir ses compétences à jour. Cependant tous ont besoin de formation, malgré que plus l’on est instruit plus c’est facile, plus on le gout de se formé, l’importance que l’entreprise doit accorder à tous ses employés s’imbrique d’en la loi.
De plus, Monsieur Kamal El Batal fait remarquer que la culture de la formation continue est plus présente dans la grande entreprise que dans la PME, et ce, même si le 2/3 des emplois sont dans ces PME. C’est une réflexion qui doit être faites car la loi du 1% laisse une quantité importante d’employé dans une classe a part du à la masse salariale de leur employeur qui n’atteint pas le plancher du 1 Million de $. Cela ne les dégage pas de leur responsabilité morale mais de leur obligation factuelle.
Responsabilisation en formation continu
Enfin la troisième évolution sociétale est comme mentionné par nos panélistes, c’est la responsabilisation en formation continu, une responsabilisation morale ou étique.
Une des responsabilités de l’employeur est d’avoir une main d‘œuvre compétente. Cette investissement en formation continue à pour effet la rétention de cette main d’œuvre, dû à la reconnaissance de leur compétence. Comme le fait remarquer Marie-Dominique Bélisle, la personne développe un engagement parce qu’elle se sent reconnue. De plus l’employeur aura plus de possibilité de déplacer et de faire évoluer ses services par de meilleurs acquis de l’ensemble de son personnel.
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