Le Choc Des générations

Sylvie Lavoie

Individu et équipe en contexte de travail

ADM1205 – Formation à distance

TRAVAIL DE SESSION - C

La diversité culturelle et la main-d’œuvre

Travail présenté à Monsieur Michel Chrétien

Le 9 décembre 2009

Table des matières

1. Prévenir les conflits liés à la diversité - résumé 3

2. Lien avec la matière vue 5

3. Critique 7

4. Bibliographie 9

Annexe 1 : Cliquez ici pour taper du texte. 10

1. Prévenir les conflits liés à la diversité - résumé

L’accroissement de la diversité culturelle est un phénomène social contemporain et irréversible qui entrainera des transformations, des mutations dans la pratique de gestion procurant ainsi des effets sur l’évolution de l’organisation.

Un questionnement s’impose quant à ce phénomène. Si on considère qu’un groupe dicte ses valeurs, ses référents et ses pratiques, on peut être d’avis que l’interculturel n’est jamais que la capacité et la volonté de la culture dominante de s’ouvrir et de devenir plus flexible. Ainsi, quelle répercussion aura la rencontre des cultures? Entrainera-t-elle des problématiques spécifiques de gestion au sein des organisations? Toute gestion interculturelle passe par une vision intégrée des pratiques de gestion allant des politiques en matière de ressources humaines à la définition des tâches quotidiennes.

Bosche considère que le management interculturel ne peut s’autosuffire, il faudra emprunter aux disciplines telles que l’anthropologie, la sociologie, la psychologie et la communication interpersonnelle. Il met l’accent sur l’échange social. Hofsted, par ses travaux a permis de faciliter la compréhension des différences culturelles dans une perspective comparative et d’autres ont apporté des dimensions spatiotemporelle, religieuse et régionale. Par contre, les travaux de Mor Barak ont fait ressortir les caractéristiques et les influences bénéfiques de l’interculturel.

Au Québec, on remarque une tendance à l’institutionnalisation, il veut se démarquer du reste du Canada. Au cours des dernières années, des changements majeurs ont eu lieu dans la composition ethnoculturelle. Le bassin migratoire a changé. Ces changements ont des répercussions dans les modes d’intégration. Diversité inclut l’obligation d’élaborer des modes de gestion pour inclure tous les travailleurs dans le but d’amener l’organisation à performer

L’incompréhension interculturelle touche plus d’une dimension dans l’organisation. Ce serait une erreur de sous-estimer l’impact qu’a la diversité cultuelle face aux employés. Il faut posséder une bonne connaissance de son organisation; comprendre les relations de travail existantes, les tensions et les liens de solidarité facilitera une gestion interculturelle efficace.

D’ailleurs, la prévention des conflits passe par une vision à long terme de l’organisation et un politique d’intégration, par exemple des séances d’information, journal ou un système de mentorat.

Dans les faits, les minorités culturelles sont souvent confrontées à de la discrimination. Certaines règles de promotion peuvent enrayer ce problème, disons-le endémique. L’ouverture sur la diversité passe par un traitement juste et équitable de tous.

L’accroissement de la diversité culturelle a fait naitre le concept d’accommodements raisonnables qui a suscité des craintes souvent non fondées.

L’auteur a voulu faire une réflexion sur la gestion de la diversité. La prérogative des gestionnaires leur permet de favoriser des environnements interculturels intéressants. Néanmoins, il faut une volonté claire.

Entreprendre un virage interculturel est un processus d’adaptation aux changements qui est nécessaire. Ce processus amène une responsabilisation de tous les acteurs.

Finalement, les gestionnaires devront faire accepter le fait que l’organisation subira des changements au cours de ce passage à l’interculturalité.

2. Lien avec la matière vue

Je vous présente, sous forme de tableau, les notions abordées dans l’article que j’ai choisi en relation avec les notions de la matière vue.

NOTION DE LA MATIÈRE VUE TEXTE DE L’ARTICLE

1) p. 81 – volume de référence - Théorie de la gestion [Selon Gert Horfted, la réponse est non…] Pour ce faire, il faut d’abord soigneusement peser les influences culturelles. p. 1 – Cela nous amène à nous demander s’il est possible de mettre en œuvre des pratiques de gestion de la diversité sans porter atteinte aux principes fondamentaux du respect des personnes et des cultures.

2) Note de cours - En relation avec la résolution et la gestion de conflits puisqu’on parle de perspectives d’intervention, qui fait partie aussi d’un processus décisionnel, selon moi. Une vision globale de l’interculturel prend en considération l’ensemble des facteurs culturels liés les uns aux autres et permet d’ouvrir les perspectives d’intervention à de nouveaux horizons.

3) p. 69 – volume de référence – La perception du temps [Hall se sert également de la perception du temps pour distinguer les cultures…] on parle ici d’une culture polychronique ou monocronique. Hall et Hall se sont intéressés à la dimension spatiotemporelle en montrant que la notion de temps, par exemple, pouvait varier considérablement d’une culture à l’autre.

4) Note de cours – Cette notion de savoir-faire et de quoi-faire est en lien avec la théorie de l’apprentissage « apprendre que » - « apprendre à » et « apprendre ». C’est pour cela qu’une approche globale qui n’isole pas la dimension culturelle des autres aspects des organisations (climat de conflit, rapports de pouvoir, intergénérationnels et de sexe, ouverture sur le changement, leadership, etc.) doit pouvoir

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