Droits et moeurs

Fanny Thiebaud

Groupe.9

Dissertation : Le droit et les moeurs

        Charles de Montesquieu disais « Les moeurs font toujours de meilleurs citoyens que les lois. »

Les mœurs vient du latin Mos, qui au pluriel est Moris, c’est une conduite, une manière d’agir, un genre de vie et une habitude. Les mœurs, c’est une habitude d’une société,  d’un peuple ou d’un individu, elles sont associés au Droit et sont présentes depuis le Moyen Âge.

Les conséquences des mœurs sont une suite d’actions entraînant une sanction établie par une autorité pour réprimander un acte, quant à la règle de droit c’est une norme juridique normes de droit.

En effet les deux concepts de droit et de mœurs empruntent les caractéristiques communes sans pour autant convenir à la même finalité .

La théorie des droits pures n’examine pas si les règles de droit entre en adéquation entre les règles de valeurs instaurées en société.

La règle de droit serait alors déconnectée d’un jeu de valeur alors que les phénomènes sociaux, font état d’un climat de défiance, à l’égard des règles de droit en société et en effet une interrogation sur la hiérarchie de droit et sur les règles de mœurs s’opposent.

.Il n’y a donc pas que le droit qui puisse régir le comportement des hommes en société. Ainsi, nous pouvons penser que droit et mœurs ont des points communs, mais aussi des différences

Alors on pourrait se demander quelles sont les caractéristiques communes et les divergences entre les meours et les règles de droits ?

Alors, par la suite, dans une première partie nous allons voir le socle commun des droits et des mœurs et dans une deuxième partie nous allons voir les différentes caractéristiques entre les règles de droit et de mœurs.

I-Le socle communs des droits et des moeurs

A)Les sources de droit et de meurs

        Pour commencer on sait que les mœurs recouvrent en partie un concept de droit, elles ont des domaines communs, dont deux ordres normatifs qui ont la même règle. Les deux notions de droit et de mœurs évoluent ensemble car les mœurs des individus vont changer, vont évoluer, en fonction du temps et de la société dont notamment aussi les normes et les valeurs.

En comprenant que les mœurs ne sont pas fixes, vu qu’elles évoluent, alors on comprend aussi que la règle de droit ne l'est non plus, puisque ces deux notions s'inspirent de l’une de l’autre.

Par ailleurs on comprend que la règle de droit qui régie la société ne peut pas rester indifférente aux mœurs de la société donc parfois la règle de droit prend en considération la règle de mœurs et dit que la règle de droit doit s'adapter pour ne pas devenir obsolète.

En effet le droit et les mœurs s’adressent tous les deux à une communauté de personnes pour atteindre certains objectifs.

Il apparaît plus juste d’obéir à une règle qui interdit le vol, un acte moralement répréhensible plutôt que d’obéir à d’autres règles dépourvues de moralité.

Donc on peut conclure que Droit et mœurs sont donc reliés par l’idéal de justice et l’exercice du pouvoir juridique.

Nous venons de voir que les règles de droits et de meurs sont effectivement en coexistence début le début et qu'elles évoluent ensembles .

B) L’organisation de la société par ces deux concepts de droits et moeurs

        Par ailleurs le droit est dit parfois comme la traduction de l’évolution des mœurs.

En effet il apparaît plus juste d’obéir à une loi.

Sur ce, on peut dire que les mœurs et le droit se complémentent car la règle morale veut que les individus soit honnête et fidèle quant à la règle de droit c’est elle qui va fixer la sanction, l’obligation et le contrat à respecter pour que les individus la suivent.

Le droit, en effet, n'est qu'un instrument très imparfait de normalisation des conduites et des comportementsEn effet nous pouvons voir un lien entre les mœurs et le droit  Pour argumenter cette théorie nous pouvons prendre comme exemple la loi concernant le mariage pour tous (n•2013-404) , en remarquant que cette loi avait été pendant longtemps manifester car pour eux cela ne faisait pas partie de leurs valeurs mais pourtant par la suite elle a été adopté prouvant que toute individus peut d’adopter à de nouvelles mœurs .Au terme de cette analyse, il y a une déconnexion entre le droit et les mœurs, au nom du pluralisme et du relativisme. Pour autant, les mœurs sont tributaires du droit. Il ne peut pas en être autrement. . Les mœurs quant à elles se dissolvent du fait de la déstructuration du droit. Le droit et les mœurs sont si intimement liés qu’il y a grand danger à ce que dans une société il n’y ait pas une cohérence entre les deux.

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