Les besoins de ressources humaines doivent être analysés sous l’angle quantitatif (nombre de salariés) et sous l’angle

Devoir n° 2

CAS PARKER

Question 1

Les besoins de ressources humaines doivent être analysés sous l’angle quantitatif (nombre de salariés) et sous l’angle

qualitatif (compétences requises). Ces besoins peuvent s’appuyer sur :

— des facteurs internes

• la stratégie de l’entreprise : structure Ret D + mkt,

• la stratégie commerciale : nombre de vendeurs puis nombre de salariés si la production augmente (à voir),

• la productivité attendue,

• les données démographiques : remplacement des départs en retraite.

— des facteurs externes

• l’environnement économique : prise en compte des fluctuations de la demande des consommateurs,

• l’environnement technologique : possibilités d’automatisation du process de production.

Question 2

— Recrutement : prise en compte de la concurrence des entreprises du secteur agro-alimentaire géographiquement

proches. Les contrats d’apprentissage permettent de tester de futurs candidats. Offrir des contrats de travail durables

afin de fidéliser les salariés , donc de réduire les coûts de recrutement.

— Plan de suivi des attentes et des compétences : entretiens réguliers et planifiés des responsables hiérarchiques avec

leurs collaborateurs. Notons que l’attitude crédible et respectueuse de l’encadrement augmente la confiance des

collaborateurs. Lien avec la motivation des salariés.

— Plan de formation déterminé en fonction

• des besoins de l’entreprise,

• des attentes des salariés.

Notons que la formation peut constituer un facteur de fidélisation des jeunes salariés, notamment diplômés.

— Développement de la flexibilité

Il s’agit de prévoir l’adaptation aux évolutions de l’environnement, notamment aux fluctuations de la consommation.

On distingue :

— la flexibilité quantitative interne : heures supplémentaires, annualisation du temps de travail,

— la flexibilité qualitative interne : polyvalence des salariés,

— la flexibilité quantitative externe : recrutement de salariés en CDD ou intérim lors des pics d’activité.

Question 3

La culture d’entreprise est définie par Elliot Jacques comme un mode de pensée et d’action plus ou moins partagé par

les membres de l’organisation.

Pour l’entreprise GUILLOTEAU, elle s’appuie sur

— des valeurs : convivialité, proximité, innovation, indépendance,

— des rituels : soirées festives lors des départs en retraites.

Cette

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