Facture pro format

SERIOUS GAME.

Serious Game

• Présenter la situation de départ
• La stratégie définie initialement
• Les actions menées
• Les succès et échecs pendant la période
• Les enseignements tirés de l’analyse

Définir des axes d’amélioration tant au niveau de la stratégie que des actions

Redéfinir la stratégie pour la prochaine période et les objectifs à atteindre.

Rappel du contexte :

• Qui sommes-nous ?
• Pourquoi sommes-nous là aujourd’hui ?
• A quoi devons-nous arriver à la fin de la réunion ?

Analyse de l’activité :

• Quel est le périmètre observé ?
• Quels sont les faits marquants ?
• Que pouvons-nous observer : Tableaux, graphiques, schémas

Perspectives :

• Quels sont les choix qui s’offrent à nous ?
• Sont-ils en lien avec notre stratégie ? Avec nos moyens ? Nos valeurs ?
• Que nous conseillez-vous ? KPIS
• Quels en seraient les bénéfices ? Utiliser des éléments objectifs mais aussi intangibles

Réponses aux questions

Premier mois janvier : erreur de stock :

Première vente : 7400 lots à 18€ : 133 200€

Deuxième vente : 300 lots à 18€ : 5400€.

Cela a entrainé des charges d’exploitation plus élevées que les produits d’exploitation.

Vente à perte.

Trésorerie : décalage de trésorerie suite à erreur de stock, manque de temps pour le calcul du coût de revient.

Décision stratégique choisie. Proposition de cette solution pour ne pas prendre de risques.

Rappeler la situation initiale : capital, stock de départ etc.

Le premier mois de l’année a essentiellement reposé sur une stratégie qui consistait à ne pas prendre de risques. Nous avons donc décidé de commander un stock plutôt faible de bouchons agglomérés soit 40 000 lots de bouchons a un prix fixé à 18€.

Nous venions tout juste de rentrer sur le marché et malgré notre analyse préalable du marché, la détermination de la demande de bouchons a été compliquée.

Mois de février : changement de stratégie. Nous avons décidé de changer notre prix de vente et passer à 25€. Commande reçue de 40 000 liège à broyer ce qui nous a donné 2800 lots de bouchons.

Nous nous sommes rendu compte que nous n’avions pas assez commandé avec un coût de revient de 47€. Cependant, nous ne pouvions pas vendre plus cher que nos concurrents au risque de ne pas réussir à liquider notre stock et d’engendrer des frais de stockage supplémentaires.

Nous avons donc tenté de rattraper notre erreur en augmentant considérablement notre coût de revient.

Offre à 25 pour l’intégralité du stock.

Cependant nos concurrents ayant un prix de revient beaucoup plus faible, nous ne sommes pas parvenus à vendre du premier coup notre stock.

Les négociations étant compliqués, nous avons décidé de finalement garder notre stock.

Les prix ayant changé pendant la nuit et ayant commandé de petites quantités, nous avons choisi de garder notre stock et de ne pas faire de proposition car nous aurions vendu à perte. Cela nous coute 11,76€ de le garder en stock. Cette décision était préférable pour nous.

Autre difficulté : pas de possibilité de jouer sur les délais de paiement.

Phase 3 : Mars : changement de stratégie. Nous avons calculé qu’avec toute la commande plus le stock du mois dernier (22 800), nous inonderons le marché en vendant à prix bas car notre coût de revient sera plus faible (12,70).

L’objectif est donc de se rattraper en ayant une marge élevée.

Par la suite un changement de données et de conjoncture à engendré un autre changement de stratégie :

• Changement du montant des salaires versées à 100 000

Bouchon naturel pèse en moyenne 6 grammes et coûte cher.

Emporte pièce va découper les bouchons sur des planches.

Le reste : liège à broyer à triturer.

Industriels : machines achetées avec des unités de production, coûts supplémentaires pour faire face au marché des bouchons naturels.

Bouchons d’Espagne :

• A : pourcentage de qualité.

4 qualités totalement différentes.

Planification Phase 4 : Avril : acquisition d’un stock de planches pour 175 000€.

Commandé de stock de planches d’Espagne A : 20 000

Espagne B : 20 000

Espagne C : 10 000

Production période mars :

Liège à broyer : 155 000

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