Pestel le slip francais
Étude de cas : Pestel le slip francais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Antoine Kocialkowski • 12 Mars 2021 • Étude de cas • 727 Mots (3 Pages) • 1 249 Vues
L’aticle s’intitule « Neonicotinoides : des dérogations fondées sur une erreur de calcul »
par Stéphan Foucart. Il est paru le samedi 20 février 2021 dans le Monde
L’auteur monte que l’arrété du 5 février 2021 reléve d’une confusion entre quantité et densité d’abeille par hectare. Celle-ci peut engendrer de lourdes causes pour les insectes.
Il met en avant la différence entre enrobage de la graine et traitement foliaire. L’enrobage n’est pas absorbée a 100% par la plante et stagne dans les cultures pendant plusieurs rotations de cultures.
Le deuxième point abordé sont les lobbies du sucre avec comme argument des chiffre infondés (80% des abeilles restent en périphérie des cultures de mais »
Le conseil de déffense s’est donc basé sur ces études et a adopté la réintégration des enrobages sur la betterave à l’arrété du 5 février
Peu de temps après, l’auteur nous montre que Institut Technique de l’Agriculture biologique a fournit une analyse qui contredit celle des lobbies du sucre. Il y a eu une confusion encore sur les données traitées et l’interprétation que l’on en a fait.
La zone de non culture devrait non pas être de 8 metres mais de 189 mètres de larges sur une culture de mais de 50 hectares.
Il est aussi relevé que certaines études ne sont pas expérimentées et ne permettent pas de fournir de rapport fiables quant à la réintégration des neonicotinoides
Commentaire :
Le plan ecophyto avait pour but de réduire et voir meme enlever l’utilisation des produits phytosanitaires dans nos cultures. Il a été repoussé en 2025
Emmanuel Macron avait promis lors de sa campagne qu’il allait tendre vers une diminution de ces produits. Or en 2018, la sortie du glyphosate n’est pas inscrit dans la loi alimentation
En 2019 le ministre de lagriculture Didider Guillaume dit que la FR est le premier pays en termes d’utilisation de produits phyto en Europe
Comme la pomesse n’a pas été tenue, on a pu constater des zones de non traitements en périphérie des cultures.
Il y a un certains retour en arrière dans les choix pris par le gouvernement et cela cause de lourds soucis environnementaux mais aussi pour la biodivesité comme les abeilles. L’eau qui est un bien non exclusif et rival. Nous savons que l’tuitlisation de phytos pollue l’eau et par conséquent il y a de lourdes répercutions sur l’alimentation et la santé de l’Homme.
La réintégration des phytos a une tendance à aller à l’encontre du développement durable en quelques sortes puisque c’est tout un cycle qui est touché par cette polution des sols.
Comme le dit le Rapport Brundtland : on peut trouver un développement qui soit durable, durabilité qui repose sur trois piliers environnemental, économique et social (garantir la capacité à satisfaire les besoins de tous de manière équitable). Le développement durable doit prendre en compte ces trois piliers sans que l’un n’éclipse les autres. Or aujourd’hui, la question économique (compétitivité, rentabilité…) domine les deux autres piliers qui sont le plus souvent sacrifiés. Avec le DD il s’agit donc de rééquilibrer ces trois piliers en mettant un peu plus en avant le pilier environnement car le pilier social n’est pas le plus impacté aujourd’hui dans nos sociétés (notamment en France) contrairement à celui de l’environnement qui a été complétement laissé pour compte. Jusqu’ici notre modèle a très largement négligé le pilier environnemental et donc l’enjeu est de réintégré de manière forte ce pilier dans notre modèle de croissance. La question est donc de savoir comment faire pour prendre en compte l’environnement dans notre système actuel de croissance.
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