Introduction à l’économie cas

ECONOMIE

M. SLASSI

badrslassi@yahoo.fr

Chapitre 1 : Introduction à l’économie

I – Qu’est-ce-que l’économie ?

1. Définition

L’économie est le choix des agents économiques qu’ils opèrent afin de satisfaire leur besoin ou leur désir. On entend par agents économiques, des individus, des ménages, des entreprises mais aussi l’État. Le terme « économie » peut aussi être une manière de qualifier une situation économique donnée. L’économie c’est l’ensemble des activités d’une collectivité humaine en terme de production et de consommation de richesses.

1. Les cycles de la croissance

La croissance n’est jamais quelque chose de linéaire. Elle subit de nombreuses variations qui donnent des cycles. Un cycle est composé de 4 phases :

• L’expansion : augmentation de la production, la hausse des prix et des revenus
• La crise : point de retournement dû à diverses raisons
• La dépression ou la récession :  lorsque la production diminue, et qu’il y a une baisse de prix et des revenus, et que le chômage apparaît
• La reprise : la relance d’un nouveau cycle

[pic 1]

1. La notion de marché

Le marché est le lieu de rencontre entre l’offre et la demande. C’est la que se fixe les prix et se vendent les produits. On peut classer le marché selon la nature des produits (marché des biens de consommation, des biens d’équipement, des biens de services ...) et la dimension géographique (local, nationales, internationales). La structure des marchés varie selon le nombre de participants (monopole, oligopole).

• Le prix sur le marché joue un rôle déterminant.
• Le prix est soumis à l’influence de l’offre et de la demande.
• L’offre correspond à la quantité de biens qui est vendu sur le marché à un prix donné.
• La demande représente la quantité de bien ou d’un service qu’un agent est disposé à acheté à un certain prix. Le prix d’équilibre s’obtient par tâtonnement.

[pic 2]

(Cf. schéma : l’offre et la demande)

II- Le rôle de la monnaie

1. Évolution et notion de la monnaie

La circulation des biens et des services entre les entreprises et les particuliers sur un marché nécessite un moyen d’échange simple, efficace et universel qui est la monnaie. Elle peut se définir de la manière suivante : ce sont les moyens de paiement immédiat acceptés par une communauté. La monnaie a trop utilités :

• C’est d’abord un instrument de circulation car il permet les transactions comme l’achat et la vente.
•  C’est un instrument de réserve du pouvoir d’achat qui permet de différer un achat ou son utilisation.
• C’est un instrument de mesure qui permet d’évaluer l’ensemble des biens et d’en fixer le prix.

On distingue plusieurs types de monnaie :

1.  La monnaie fiduciaire que l’on appelle aussi pièce de monnaie ou billet de banque.
2. La monnaie scripturale constitué d’écriture comptable, ce sont les débits et les crédits des comptes bancaires.

La circulation de la monnaie s’effectue à l’aide d’instrument de paiement tel sur les chèques, les cartes de paiement, les mandats, les virements automatiques, les titres interbancaires de paiement ou encore les lettres de change. On assiste à une dématérialisation continue de la monnaie grâce aux nouvelles technologies. Aujourd’hui, l’utilisation de la monnaie scripturale représente 80% de l’utilisation de la monnaie. Cette dématérialisation de la monnaie s’appelle la « monétique » et elle s’effectue notamment aux moyens de carte de crédit et de l’informatique.

1. L’influence économique de la masse monétaire

La masse monétaire en circulation correspond à l’ensemble des paiements dont dispose les agents économiques pour réaliser leur opération de consommation, d’investissement ou d’épargne. Aux actifs monétaires de base que sont les pièces, les billets ou la monnaie scripturale.

On peut ajouter ce que l’on appelle la « quasi-monnaie ».

Ce sont les placements bancaires transformables tels que les livrets d’épargne. A côté de cette masse monétaire, on trouve des éléments monétaires tels que les obligations ou les actions. Dans cette masse monétaire, les banques participent au processus en créant de la monnaie via des opérations de crédit. Ce pouvoir de création comporte des limites comme la solvabilité des clients ou encore les réserves obligatoires de la banque de France.

La banque de la France finance les états de crédit qui s’adressent à elle et gèrent les réserves de change de l’économie à savoir la monnaie papier, les pays de banque ou bien la monnaie scripturale ; il faut noter que la banque centrale européenne a développé un fort pouvoir de décision en disposant d’une décision finale sur les taux d’intérêt directeur (le taux intérêt pratiquer par la banque pour le crédit).

• Le trésor public :

Est l’agent financier de l’Etat il est à l’origine de la gestion fiscale et de l’argent public.

Chapitre 2 : les facteurs de la croissance

1-les différentes facteurs :

                 A ) les facteurs économiques :

La croissance repose sur la mobilisation et sur une certaine ressource économique.

• Ils existent 2 type de ressources se sont :

1. Quantitative 
2. Qualitative

Pour l’aspect quantitative :2 facteur sont important le Travail et le Capitale :

• Pour le travail il y a la démographie et l’augmentations de la populations active.
• Pour le Capitale en parleras d’accumulation d’investissement protective et le progrès technique  

Pour l’aspect qualitative   2 facteur sont important le Travail et le Capitale :

• Pour le travail il s’agit de l’information de la division de travail et de l’organisation.
• Et pour le Capitale en traiteras de la recherche de la modération et la motivation.

Les investissements sont nécessaires à la croissance pour cela les épargne doivent être forte a fin de permettre au banque d’accorder les crédits au entreprises pour leur financement.

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