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Etude de Marché Fruits et Légumes au Sénégal

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Par   •  25 Mai 2018  •  Étude de cas  •  960 Mots (4 Pages)  •  4 318 Vues

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I. Contexte

II. La demande de fruits et légumes au Sénégal

a. la demande nationale

b. les exports

III. l'offre des fruits et légumes au Sénégal

a. l'offre nationale

b. les imports

IV. la distribution de fruits et légumes

a. les réseaux de distribution des fruits et légumes: réseaux modernes et réseaux traditionnels

b. contraintes et opportunités de la distribution des fruits et légumes

IV. la distribution de fruits et légumes

Au Sénégal, le marché des fruits et légumes est entretenu par des réseaux de distribution modernes et aussi traditionnels. Il présente entre autres des opportunités importantes malgré les contraintes qui y sont liées.

a. les réseaux de distribution des fruits et légumes: réseaux modernes et réseaux traditionnels

Les réseaux de distribution regroupent l’ensemble des acteurs que sont les producteurs, importateurs, intermédiaires, revendeurs, grossistes, détaillants et consommateurs.

1. Les réseaux traditionnels

Traditionnellement, la distribution se faisait à un niveau local où les producteurs ne sont pas loin du marché. Le canal de distribution étant assez court puisque constitué essentiellement des producteurs, des détaillants et du consommateur. Très souvent le premier se confond au second. Il s’agit du paysan qui vient écouler sa récolte au marché. De plus en plus de marchands se sont spécialisés dans la revente de fruits et légumes. Ce qui permet aux paysans d’écouler plus vite leur récolte. Pour ce qui est de la distribution des fruits et légumes dans les zones éloignées des sites de production, le système des loumas, ou marchés itinérants, permettait aux consommateurs de disposer en un même lieu d’une palette plus large de choix de fruits et légumes et aussi aux marchands d’une clientèle plus importante et plus diverses.

Il faut noter quand même que les grandes agglomérations telles que Dakar ont toujours été une destination de choix pour les revendeurs. Ainsi la capital a de tout temps été la zone de convergence des produits et regroupait ainsi la quasi-totalité des productions locales. En plus de cela vient s’ajouter des produits importés tels que l’orange et la clémentine du Maroc, les bananes de la cote d’ivoire, les pommes, raisins et les poires d’Europe pour ne citer que ceux là.

Au niveau des échanges avec les pays limitrophes, le Sénégal possède des partenaires privilégiés telle que la Guinée, le Mali ou la Mauritanie avec qui il échange leurs productions locales notamment des fruits et des légumes. Ces échanges même s’ils sont quasi permanents restent assez mal organisés et informels. Par contre dans de grands marchés tels que Diaobé (Vélingara), les échanges transfrontaliers sont un peu plus réguliers et

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