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Le cas de la laiterie de la Rive-Sud.

Étude de cas : Le cas de la laiterie de la Rive-Sud.. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  28 Octobre 2016  •  Étude de cas  •  2 874 Mots (12 Pages)  •  1 629 Vues

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Résumé les faits :

La compagnie laiterie de la Rive-Sud qui opère depuis plusieurs années et qui à toujours trouvé le moyen d’être rentable, cependant aucune expansion ou changement au niveau de la direction de l’entreprise n’a été fait. Durant cette étude de cas, nous analyserons plus particulièrement la division de la livraison qui dessert à un rayon de plus de 80 km de la laiterie.

Pour commencer, chez la laiterie de la Rive-Sud, il y a un gros problème au niveau du style de gestion des employés qui est beaucoup trop autoritaire, les employés ne sont pas motivés au travail. M Jerry Jones qui est le directeur de la laiterie, est très stricte, il veut avoir le contrôle sur toutes les activités de la laiterie avec un contrôle très autoritaire et ne livre pas ses messages de la bonne façon.Il y a aussi la présence d’un système de surveillance très stricte pour surveiller les employés, mais par contre ce système contient des failles qui sont profitables pour certains employés.

M Jerry Jones croit également que ces employés ne pourraient pas travailler sans son contrôle, il ne leur donne aucun mandant spécial ou plus de souplesse dans leurs travaux même si certains employés ont plus de 15 années de services pour la laiterie.

Dans l’entreprise il y a également un manque flagrant de reconnaissance pour les bons coups que les employés réalisent, seulement les erreurs ou les mauvaises actions qui sont soulevées et d’une manière très directe et non habile.

L’entreprise à aussi muter dans le passé d’un système de rémunération à la pièce pour les livraisons vers un système payé à la semaine, ce qui cause un certain problème puisque lorsqu’un employé n’est pas productif, M Jones tombe directement sur le cas de cet employé et ne le lâche pas.

Il y a aussi M Al Brown qui est à l’emploi de la laiterie depuis 35 ans et qui s’occupe de l’entrepôt et de préparer les commandes pour les livreurs. Certaines lacunes au niveau du contrôle de l’inventaire pourraient également être corrigées pour éviter des pertes de revenus pour la laiterie.

Identification du problème :

Le cas de la laiterie Rive-Sud démontre principalement un problème de communication entre Jerry Jones le directeur et les livreurs de l’entreprise. Le style de gestion M Jones est l’une des raisons pourquoi les employés ne sont moins motivés au travail. M Jones devrait apprendre à faire confiance à ses employés et à leur donner plus de responsabilités et les laisser faire preuve d’initiative. M Jones devrait avoir une plus grande ouverture d’esprit avec les employés d’expérience qu’il a dans son entreprise, il est fort probable que certains d’entre eux ont de très bonnes solutions à proposer, il suffit seulement de les écouter et de les considérer.Nous constatons également des problèmes de logistiques dans l’entreprise, l’inventaire devrait avoir un contrôle plus serré pour éviter des pertes de revenu à l’entreprise et avoir un inventaire plus juste.Je crois également que le mode de rémunération des employés devraient être révisé et les routes recalculés pour avoir un équilibre entre les employés.

Identification des causes du problème :

Tout d’abord, le style de gestion de l’entreprise s’explique en partie par la personnalité de Jerry Jones peuvent s’expliquer par les différents points suivants :

• De sa personnalité

Jerry Jones est un homme qui à un désire profond que les chose fonctionne à sa manière, même s’il gère du personnel qui compte plusieurs années d’expérience, M Jones à beaucoup de difficulté à faire confiance à ses employés comme nous pouvons le constater dans l’extrait suivant qui sont des propos d’un ancien chauffeur de la laiterie « Il pensait aussi que personne ne pouvait faire quoi que ce soit sans qu’il lui ait dit quoi faire et comment le faire ».

• De son style de gestion

Il est d’un style très autoritaire et très direct lorsqu’il doit adresser certaines situations aux employés, la méthode qu’il utilise est sans contredis une méthode qui n’aide guère la situation où qui aidera à secouer, motiver ou rendre heureux ses membres. Dans le prochain extrait vous pourrez constater comment M Jones s’y prend pour adresser des situations problématiques à son personnel « Lorsqu’il disait à quelqu’un qu’il avait mal fait son travail, il aimait toujours avoir d’autres chauffeurs présents afin de se donner

L’image du dur à cuire ». Cette dernière approche n’est pas très respectueuse envers son personnel, probablement très bouleversante et très humiliante. M Jones devrait préférer le renforcement positif auprès de ses employés plutôt que d’utiliser la punition dans le but d’obtenir de la conformité ou du rendement auprès de ses employés.

À la laiterie le manque de reconnaissance et de renforcement positif est une lacune majeure dans l’entreprise, M Jones ne souligne jamais les bons coups des employés. Ce manque majeur dans le style de gestion de Jerry est très lourd de conséquences sur le rendement des employés de la laiterie. Dans l’exemple suivant M Jones dit clairement à un employé que de la reconnaissance il n’en fait pas par contre si un employé fait quelque chose d’une mauvaise manière il lui va adresser la situation « Si tu fais quelque chose de pas correct, tu vas en entre parler; si tu fais du bon travail, ce n’est pas moi qui t’en parler ».

• L’entrepôt

À l’entrepôt, on dénombre quelques situations problématiques qui ont un impact direct sur la production et sur la rentabilité de la laiterie. Tout d’abord, les problèmes de glacière qui ne sont jamais verrouillés, les employés se servent dans les glacières sans indiquer ce qu’ils prennent et en plus se permettent de revenir et rapporter des produits pour en obtenir des crédits. Le système est beaucoup trop souple et les failles de celui-ci sont connues par les chauffeurs. Cette lacune engendre beaucoup de perte pour l’entreprise. Nous pouvons voir dans l’extrait suivant les propos d’un ancien chauffeur « Le système d’inventaire est trop souple. Les glacières ne sont jamais verrouillées alors, chaque fois que je le pouvais, je prenais des produits en surplus afin

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