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L'entreprise les assurances Sécuriplus

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Par   •  8 Janvier 2019  •  Cours  •  1 170 Mots (5 Pages)  •  475 Vues

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L’entreprise les assurances Sécuriplus

Question 1 :

L’entreprise les Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail par ses trois divisions au saint de l’entreprise. L’organisation contient la division vie, la division industrielle et la division médicale. Les trois divisions contiennent chacune leurs propres gestions et spécialisations des tâches. La division vie vendait des polices d’assurance-vie conventionnelles. La division industrielle vendait des polices d’assurance-accident, d’assurance-invalidité à long terme et des compléments d’assurance-maladie. La division médicale vendait des plans d’assurances-médicaments et soins dentaires.Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau. Chacune d’eux fonctionnait dans un environnement administratif et dans un contexte de marketing bien différent, donc les trois divisions étaient gérés comme des entités virtuellement indépendante. Ceci dit il importe que les travailleurs soient spécialisés car ils deviennent des employés plus productifs dans l’entreprise. Ensuite, l’entreprise correspond aux principes de l’organisation scientifique du travail qui vise à favoriser la production de masse. L’organisation scientifique du travail, basée sur des normes loyales de rendement, est l’œuvre de Taylor.

Jean Blanchette qui occupait la direction de l’entreprise avait investie de la formation auprès des employés pour développer leurs aptitudes au travail efficace et de qualité pour justement avoir une équipe productive et stable. On comptait trois facteurs clés de succès dans le secteur de l’assurance-médicaments, soit : le coût, le service et la qualité. L’approche scientifique est d’abaisser les coûts en réduisant la valeur économique du travail. Chaque division avait sa routine de traité les réclamations, c’était une chaîne de tâches. La qualité était un élément important dans le service à la clientèle. Les réclamations étaients traitées par ordinateur, le dossier comprenait pratiquement toute l’information qu’il fallait pour traiter la réclamation. Puisque pratiquement tous les contrats avaient leurs particularités, le processus d’approbation des réclamations exigeait des employés compétents, attentifs et bien informés. Dans le domaine de

l’assurance-médicament, l’assureur ne prenait aucun risque puisque le taux de cotisation de chaque groupe était déterminé en fonction de son historique de réclamations.

Question 2

L’entreprise les Assurances Sécuriplus ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol.Il n’y avait pas une pensée stabilité du personnel face à M. Blanchette. Il commençait à penser qu’il faudrait congédier quelques-uns de ses employés pour donner un avertissement sérieux aux autres. Il n’y avait pas qu’un seul chef et un seul programme pour un ensemble d’opération visant le même but, mais plusieurs directeur de la division médicale, sept cadres ceci dit, cela pourrait engendrer des conflits. De plus, Le délais traitement atteignait près de neuf jours, car il fallait géré deux services ou de deux divisions diffrentes. Il y avait un problème de productivité des ressources humaines. Le directeur commercial de la division médicale menaçait maintenant de porter plainte auprès du vice-présidents aux ventes de la société afin d’améliorer la performance des services des réclamations médicaments et soins dentaires. Il n’y avait pas d’ordre dans la façon de géré le travail puisque Sécuriplus fait face à trois types de problèmes qui sont les suivants : des frais administration trop élevés, un taux de productivité trop faible aux services des réclamations parce qu’il y avait trop d’erreurs à corriger et trop de temps consacré à traiter des dossiers hors-normes, le trop grand nombre d’heures de travail consacrées à des tâches improductives comme le déplacement ou le classement des dossiers. M. Blanchette ne donnait aucune motivation du personnel, il mentionne : << Je suis toujours obligé de leur dire qu’ils ne font pas du bon boulot >>. Il y a aussi eu un manque dans l’administration des tâches lors de l’approbation des réclamation non valides. Les cas survenaient lorsqu’un employé d’une entreprise assurée par Sécuriplus avait quitté son emploi sans que les dossiers n’aient été mis à jour. Il y avait en tout six catégories d’erreurs et les commis n’avaient pas été prévenus qu’il y avait des vérifications en cours et n’avaient pas été informés des résultats. Il n’y avait pas de manière systématique d’évaluer les points et d’en faire rapport. Pour conclure, l’entreprise Sécuriplus ne correspond pas à la principale pensée de Fayol.

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