Les fausses confidences Marivaux / Linéaire 6 / Acte III, scène 12

Marivaux (1688-1763) est un comédien Italien, il est aussi romancier et journaliste.

L’œuvre étudié aujourd’hui sont Les fausses Confidences, comédie comportant 3 actes, est représenté pour la première fois en mars 1737 par des comédiens Italiens.

Pièce du XVIIIe siècles.

On a lieu à une scène de denoument qui permet de voir le résultat des stratégies de Dorante et d’apprécier l’évolution des sentiments d’Araminte. Les différents stratagèmes mis en place par Dubois, permet de faire connaître les sentiments. Dorante a genoux mais avoue pas ses sentiments et Araminte joue de cela puis fini par avouée ses sentiments pour Dorante.

Plan

I/ Les aveux d’Araminte l1 à l13

II/ L’aveu de Dorante l14 à l27

III/ L’absolution de Dorante l28 à la fin

Problématique

Nous verrons donc comment cette scène se place sous le signe d’une triple révélation ?

Conclusion

Les fausses confidences est une comédie de Marivaux qui explore les thèmes de l’amour, du mariage arrangé et de la manipulation sociale. Les grandes idées incluent les jeux l’amour et du pouvoir, ainsi que la critique des convention sociale de l’époque.

Les personnages utilisent les mensonges et les stratagèmes pour atteindre leur objectifs, créant ainsi une satine sociale tout en mettant en lumière les intrications complexes des relations humaine.

Les fausses confidences Marivaux /

Linéaire 6 / Acte III, scène 12

Mouvement 1 : Les aveux d’Araminte

Il y a une présence d’exclamation ; d’interjection + style noble « Ah » « madame ! » cela montre la douleur de Dorante la tragédie des amants sincérité du personnage.

L'audace de la demande suscite l'exclamation de la jeune femme: « Vous donner mon portrait !» En effet, ce don de son image symboliserait le don de son cœur.

Mais Dorante conteste cette idée, car elle lui paraît inconcevable, comme l'expriment les phrases exclamatives (« que vous m'aimez, Madame ! Quelle idée !« ) et la question rhétorique « qui pourrait se l'imaginer ?». Dorante rappelle ainsi que la différence de fortune entre lui et Araminte prohibe toute union amoureuse.

Mais c'est justement cette question rhétorique qui provoque l'aveu amoureux d'Araminte : « Et voilà pourtant ce qui m'arrive. »

Phrase interrogative + exclamation « vous donnez mon portrait ! » « … je vous aime, » Ici Araminte explique à Dorante que garder le portrait reviendrait à avouée ces sentiments. Cela reviendrait à perdre le suspense de l’histoire

Son

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