Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac

Le théâtre néo-romantique Cyrano de Bergerac, écrit par Edmond Rostand, fut mis en scène le 28 décembre 1897. Acclamé par les analystes et le public, il atteindra le record de 400 fois consécutives de décembre 1897 à mai 1899. A la fin du xixème siècle, le théâtre français connaît une importante transition, où la production est dominée par les auteurs et les acteurs, au profit de la mise en scène. Tandis que le théâtre romantique se retirait progressivement de la scène des grands théâtres parisiens,le théâtre naturaliste,le théâtre symboliste étaient montés avec succès.Par contre,Cyrano de Bergerac surgit comme un spectacle romantique. A la différence des drames symboliques qui se tourne vers l’avenir du théâtre, Cyrano de Bergerac est plutôt un regard rétrospectif et un rappel de l’histoire passée de la France et de la conduite de sa tradition théâtrale séculaire au seuil de la fin de siècle.

Avec l’amour et le panache comme double thème dramatique, la pièce correspond naturellement à la double présence de la scène de guerre et de la scène d’amour. Du point de vue de la structure générale de la pièce, que ce soit entre les actes ou dans une seule scène, les scènes d’amour et de bataille sont présentées en alternance dans la pièce. Ainsi, après le apogée de toute la pièce -- le baiser de Roxana,le ton de la guerre domine dans le quatrième acte.

Le comte De guiche, afin d’éloigner Cyrano et Christian de Roxana, annonce que les deux héros doivent aller au front de la guerre. Au siège d’Arras,les cadets de Gasgone démoralisants souffrent de la faim.Cyrano donc rehausee le moral avec des jeux de mots amusant dont un nostalgie inspire les soldats de Gasgone déespérés.Face à la revenue d’écharpe blanche,Cyrano et De guiche se livrent un combattant pour l’honneur.Ainsi,nous étudierons Comment Edmond Rostand écrit l’héroïsme de Cyrano? Nous verrons d’abord la comparaison avec l’attitude de l’honneur entre Cyrano et De Guiche,puis montrerons la signification d’echarpe blanche.Enfin,nous analyersons les actions des soldats.

L’extrait que nous allons analyser commence par la phrase: «Et votre écharpe blanche?» lancé par Cyrano en inerrogation à de Guiche.De Guiche est impatient de montrer comment il a échappé à la bataille et puis retourné au combat<<quand j’eus le bon esprit de dénouer et de laisser couler à terre l’écharpe qui disait mon grade militaire>> . <<En sorte que je pus,sans attirer les yeux,quitter les Espagnoles,et revenant sur eux,suivi de tous les miens réconfortés,les battre!>>Le modalisateurs <<je pus>> est si loin de << les battre>> ,saillant De guiche en tant que un chef à se concentre sur la victoire finale au lieu d’un processus de la guerre.De Guiche préfère se justifier par une tirade, insistant à plusieurs reprises sur le danger de guerre <<sur les bords de la Scarpe,en un lieu aue depuis la mitraille cribla>>et l’impossibilité de récupérer l’écharpe <<où nul ne peut aller la chercher!>>.Nous pouvons voir notamment beaucoup d’exclamations dans le parole de de Guiche<<je pus...les battre!>><<Eh bien!>><<L’adresse a réussi,cependant!>>etc,où l’effervescence ici nous réserve de forts contrastes avec le calme de Cyrano,ce qui hausser son esprit héroïque.Au lieu d’arranger Cyrano d’emblée pour rendre l’écharpe, Rostand a mis en place un retrournement.Nul doute que Cyrano debout sur le talus, brandissant son écharpe comme une arme mentale,semble de guiche ridiculaire.Ainsi,les attitudes différentes entre de guiche et Cyrano à l’égard de l’honneur se sont lentement révélées,l’honneur insigne et la victoire par toute les moyens.

Il ne fait aucun doute que Rostand n’écrit pas de l’esprit sublime de Cyrano avec des mots clairs et directs, mais utilise la métaphore pour relier le bravoure spectaculaire et l’honneur de cyrano à un ornement - écharpe blanche voire panache. Face aux interrogations de Cyrano, de Guiche continue à raconter ses exploits avec joie.Cyrano lui semble que de Guiche, en jetant son écharpe, équivaut à jeter son honneur. Ensuite,il se montre méprisant envers l’acte lâche de de Guiche dans le champ de bataille en évoquant l’histoire du panache blanc d’Henri IV.

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