La mobilisation diplomatique des grandes puissances dans le conflit israélo palestinien règlera-elle définitivement le conflit ?

GRAND ORAL HGGSP

INTRO

A en croire le générale de gaule lors d’une conférence de presse le 27 novembre 1967« Maintenant organise sur les territoires qu’il a pris l’occupation qui ne peut aller sans oppression , répression , expulsions et il s’y manifeste contre lui une résistance qu’à son tour il qualifie de terrorisme » c’est ainsi le cas du conflit israélo palestinien ,Ayant aborder la thématique du proche orient en terminale je me suis prise de curiosité pour le conflit israélo palestinien aujourd’hui soumis à de nombreuses controverse aussi face à cette situation il semble judicieux de se demander si la mobilisation diplomatique des grandes puissances dans le conflit israélo palestinien règlera-elle définitivement le conflit ?Pour répondre à ma problématique J’ai décidé d’aborder trois éléments de réponses dans un premier temps ce conflit a été un sujet majeur pour les grandes puissances , un rapide survol historique , mon second point concerne les modalités diplomatiques de l'action des grandes puissances, qui ont varié. Il y a eu dans le temps plusieurs formats J'en arrive à mon 3 -ème point : l'absence de pressions véritables des grandes puissances.

I / ce conflit à été lgtps un sujet majeur pour les grandes puissances , un rapide survol historique

Dès le départ, l'affaire est au cœur de la nouvelle organisation mondiale : l'ONU créée depuis peu. L'Assemblée adopte un plan de partage, refusé par les Arabes. C'est la première guerre israélo arabe. Les grandes puissances vont suivre de près le dossier à l'ONU, où l'Assemblée mais aussi le Conseil de sécurité vont en traiter. Ensuite, vient la deuxième guerre, en 1956. C'est la crise de Suez. Les anciennes puissances extérieures, France -Royaume Uni, y sont étroitement mêlées et subissent d'ailleurs les pressions américaines et soviétiques. Le paradoxe est que Nasser, battu militairement, sort vainqueur de la crise. Puis, c'est la guerre des 6 jours, la troisième. Elle transforme le conflit car, , Israël s'est emparé de Jérusalem-Est et occupe aussi de nombreux territoires, la Cisjordanie mais également le Sinaï et le Golan. Les Soviétiques, dont les alliés arabes ont été défaits, mais également les Américains, poussent au cessez-le-feu. Les Israéliens résistent trois jours aux pressions. Les membres permanents sont ensuite au cœur de la négociation de la fameuse résolution 24 du 22 novembre 1967. en octobre 1973, c'est la quatrième guerre depuis la création d'Israël. Elle prend fin lorsque Américains et Soviétiques y trouvent leur intérêt. Kissinger ancien secrétaire d’état saute dans l'avion, arrive à Moscou où il négocie le texte de la résolution 338. Ce texte prévoit un cessez le feu et rappelle les principes, notamment la résolution 242. Le texte est voté tel quel par le Conseil de sécurité. Enfin, le problème israélo-palestinien reste encore un sujet majeur en 1990. George Bush, le 41ème président des Etats Unis, au lendemain de la libération du Koweït envahi par l'Irak, lance, avec Moscou, la conférence de Madrid qui débouchera sur les accords d'Oslo entre Israël et I'OLP.. Le processus pour avancer vers un règlement est arrêté; la voie est celle de la négociation, progressive : elle commence par l'autonomie palestinienne, se poursuit par la création d'une Autorité intérimaire avec un retrait partiel des territoires occupés, la fin étant ensuite à négocier.

II/ Mon second point concerne les modalités diplomatiques de l'action des grandes puissances, qui ont varié. Il y a eu dans le temps plusieurs formats

.Après 1967 un représentant du Secrétaire général de l'ONU (Gunnar Jarring) est chargé de favoriser un accord. Il échoue malgré ses qualités de négociateur et ses efforts. Après 1973, les Etats-Unis prennent la direction des opérations. Ils connaissent d'abord des succès - l'accord

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