Carnet de lecteur de "Incendie" de Wajdi Mouawad

Incendie

Deux jumeaux retrouvent leurs mère muette, elle ne veux plus parler, et commence a ce renfermer sur elle même. Arrive sa mort, leur mère leurs lègue une lettre contenant ses derniers souhaits. Elle leur demande de retrouver leur père et de lui donner une lettre, et de retrouver leur frère cacher et de lui donner une lettre. Ainsi les jumeaux se lance dans un périple pour retracer l’histoire de leur mère et ainsi pouvoir retrouver les disparu et exécuter les dernières volontés.

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Wajdi Mouawad, né le 16 octobre 1968 à Deir-el-Qamar au Liban, est un homme de théâtre, metteur en scène, dramaturge, comédien, directeur artistique, plasticien et cinéaste libano-québécois.Wajdi Mouawad quitte son pays natal, le Liban, en 1978, à l’âge de dix ans à cause de la guerre civile. Sa famille immigre à Paris, en France, puis au Québec dans la ville de Montréal en 1983. Il entreprend ses études collégiales au collège André-Grasset.

Incendies est le deuxième volet de la tétralogie Le Sang des promesses. C’est une Piece de théâtre, comportant  3 personnages principaux et plusieurs secondaires, la pièce n’a pas d’acte et de scène comme on est censé retrouver dans un pièce de théâtre banale. Le livre traite de la guerre dans les pays du moyenne orient et des personnes l’ayant vécu, il parle aussi de la quête d’identité avec les jumeaux qui essayent de découvrir qui est leur père et leur frère cacher, avec une horrible origine, où l’on découvre que leur père et leur frère ne sont d’autre que la même personne mais aussi un violeur. La pièce est tragique, sauf que les pièces des théâtre tragique finissent toujours par la mort du personnage, ici Wajdi Mouawad commence par la mort du personnage principale. On assiste donc à un théâtre épic, où est compté les exploits et l’héroïsme de Nawal.

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On remarque que l’écrivain présente des pièces s’interposant, a différente temporalité. Des évènements du passé, avec le Liban durant la guerre civile, et du présent, avec le Québec, qui s’entre mêle, permettant de mieux comprendre les succession d’action. On retrouve les mêmes personnages a différente époque. On retrouve l histoire de la guerre avec l’immigration des peuples la fuyant, on y retrouve l’histoire personnelle de l’auteur. En effet si l’on s’intéresse de plus près à l’histoire du livre, on comprend qu’il vient de fait réel, avec la photo de Josée Lambert. Cette personne avait photographier la prison d’écrite dans le livre, dans le Sud Liban, ou il torturait les mères pour faire parler les filles.

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Sans aucune hésitation on peut dire que la mère et celle dont personne ne veut avoir sa vie. Malgré sa combattivité et sa détermination, tous lui échappe. Elle se fait arracher son enfant des la naissance, essaye de le retrouver dans son plus jeune Age, quitte sa famille, son peuple, son village. Elle subit la guerre, l’emprisonnement, le viol. Elle finira par se taire définitivement après tant de traumatisme. Ca ne reste pas une vie.

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Au jumeau:

Ne me déteste pas, aime moi, aime ta sœur, pardonne. Ne reste pas sur des mauvais souvenirs, ouvres les yeux et regarde la beauté qui t’entoure. Reste proche de ta jumelle, elle est ton allier pour la vie.

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