Marché unique et politiques d’accompagnement

Chapitre 2 : Marché unique et politiques d’accompagnement

Le marché unique s’étend actuellement a 31 pays et 516 millions d’habitant

Les accords de libre échange de seconde génération font que les trois pays de l’ALE vont faire partie du marché unique. Le marché commun et le marché unique reposent sur la même information pour le marché commun traité de Rome et acte unique de 1886 pour le marché unique.

Libéralisme des années 1990 = met l’accent sur des politiques d’offre la déréglementation et la recherche d’avantage de concurrence. Le dessein initial est de créer un choque sur l’offre : les E doivent atteindre une taille critique pour être efficaces au niveau du marché et donc au niveau mondial.

1) L’approfondissement du marché commun : le marché unique

Le traité de Rome de 1957 visé a formé progressivement un marché commun. = on devait installer une union douanière.

1.1) Les entraves aux échanges du marché commun

Après la crise éco de 1974 choc pétrolier, la communauté n’a pas été épargné par un protectionnisme entre les états membres de l’union douanière avec des barrières aux échanges. Peut après l’acte unique de 86, Cecchini est charge en 1988 de rédiger un rapport sur les effets bénéfiques qui pouvaient être attendus, et qui fédérer 320millions d’habitant, il identifie des entraves qui empêche cette consolidation. Ces entraves sont :

- Les droits de Douane= ils ont été ré introduit dans le secteur agricole avec la mise d’un en place de montants compensatoires.

- Les contingents = ré introduits dans l’acier, agriculture, certains accords propres à des secteurs de service, les transports routiers.

- Les entraves qui accroissent les coûts parce qu’elles cloisonnent le marché = règles sanitaires, phytosanitaires, normes.

- Restriction a l’accès au marché public= les marchés passés par des entités publiques, régions, villes, états

1.2) Effets économiques à l’intégration des marchés

On part de la micro économique pour aller vers le macroéconomique

Pour lutter contre l’inflation, il précise les éléments macro

1.2.1) la baisse des coûts

Le marché unique est représenté comme un moyen structurel pour maîtriser les taux de l’époque au niveau de l’inflation car il permet de limiter les risques = de toutes formes : inflation par les coûts par exemple.

Inflation par la demande ; le cas n’est pas traité explicitement dans le rapport cecchini = le grand marché va casser les ressorts = elle tient a une augmentation autonome de la demande pour une offre qui va rester constante. Poussée de la demande après la guerre mais l’offre n’arrive pas a suivre car l’appareil productive est détruit. Donc le pic d’inflation était jusqu’à 60% = secousse de l’inflation par la demande.

Economie faiblement ouverte sur le reste du monde. Si la demande n’est pas satisfaite par l’offre nationale elle peut être satisfaite par le RDM ou d’autres pays européens.

L’inflation par les coûts = le marché unique génère des baisses de coût de reviens car les formalités de passage en douane sont supprimées par exemple.

L’organisation des marchés = concurrence accrue il y a davantage de concurrents = les marges sont réduites. Les effets attendus sont au nombre de trois :

- Une harmonisation par le bas des prix de vente= forte dispersion de ces prix au sein de la communauté. 15% en moyenne sur les biens de consommation et 30% sur les services.

- Disparition de tous les facteurs d’inefficacité

1.2.2) les économies d’échelle

Le marché U doit générer des effets dynamiques qui tiennent à l’augmentation de la taille du marché. Corrélation très importante entre la taille d’un marché et la taille des entreprises qui opèrent sur le marché. L’élargissement de la taille du marché doit permettre l’apparition des entreprises de plus grande taille = conséquence elles peuvent comprimer leur coût de production. = économies d’échelles sont imputables à 3 facteurs qui sont aux techniques de production : quantité produites(x) et le coût unitaire(y). Sur des petites séries le coût unitaire est élevé mais quand la taille de la série augmente, le coût unitaire diminue. Au départ économie d’échelle puis a la taille minimale techniquement efficace on fait du

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