Analyse de situation
Étude de cas : Analyse de situation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Etudiantekb • 27 Juin 2019 • Étude de cas • 1 891 Mots (8 Pages) • 702 Vues
1- Présentation de la situation:
J'effectue mon premier stage dans le service de maladies infectieuses d'un hopital parisien. Dans ce service on peut rencontrer différents isolement comme : protecteur, air, goutelettes, contact simple, contact renforcé (carbapénèmase ou BHRE) et contact clostridium.
2- Situation
Tout d'abord, ma situation s'est déroulée pendant ma première semaine de stage précisement le deuxième jour. Ce jour la, étant d'après-midi, j'ai fait le tour des chambres avec les aides-soignants pour le ramassages des plateaux repas de midi et preparer les plateaux repas par la suite pour le diner dans l'office.
La situation s'est réalisée avec Monsieur M qui est un patient agé de 83 ans, ayant une turberculose pulmonaire (BK pulmonaire) et une broncopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Ce patient est placé sous alimentation parentérale (à jeun) et sous oxygénothérapie (lunette) à 2 litres d'O2, il est alité et la toilette ainsi que les changes se font au lit. Il est dans une chambre simple avec SAS et en isolement AIR (tous ce qui rentre dans la chambre n'en sort pas).
Vers 16h, Monsieur M appui sur la sonnette pour nous avertir qu'il voulait qu'on lui change sa protection. L'aide soignante et moi allons donc préparer le chariot pour prendre tous le nécéssaire pour le change sans prendre ni trop, ni moins de matériels puisque rappelons le Monsieur M est en isolement AIR. Dans le SAS, nous mettons nos gants, notre blouse, notre tablier et notre masque de protection respiratoire (plus communément appelé bec de canard), nous frappons à la porte, entrons et ne demandons à sa femme et son fils, qui étaient de visite ce jour là, de sortir de la chambre. En attendant que l'aide soignante soit parti remplir les bassines d'eau, j'ai indiqué avec les boutons derrières la porte de la chambre qu'un soin était en cours pour que les autres soignants soit au courant. Nous expliquons au patient ce que nous allons faire et nous lui demandons s'il a compris ce que nous venons de lui dire. Par la suite, l'aide soignante tous en m'expliquant les hatitudes à adopter et les manières de faire un change, abaisse le lit du patient en position horizontale et élève le lit à notre hauteur. Le change se passais très bien jusqu'au moment ou le patient se tourne sur le coté. Nous nous sommes apperçu que pendant la transition Monsieur M avait uriné sur les draps et donc les a mouillés. Il fallait donc refaire entièrement le change et de plus changer les draps or cela devenait de plus en plus compliqué pour le patient qui était en position horizontale pour ce soin et qui, du à son appareillage, serait préférable d'être en position demi-assise (meilleur respiration). Donc nous lui surélévons la tête un petit peu, allons chercher en vitesse les draps à l'extérieur de la chambre (passage dans le SAS avec jets de tous l'habillage et lavage des mains) puis nous nous rhabillons et recommencons tous avec de nouvelles instructions. L'aide soiganante me prèviens que ce change doit se faire très rapidement pour laisser au mieux notre patient dans le confort. Donc je suis à la lettre ce que l'aide soigante me demande de faire en parrallèle à elle ( elle me donnait des instructions et je devais les exécuter dans l'immédiat sans faute alors que je ne l'avais jamais fait). Vers la fin du change Monsieur M commence à avoir du mal à respirer et tousse de plus en plus ce qui inquiète l'aide soignante. Quelques minutes après, le change terminé, je vais renverser la bassine et l'aide soignante remet le patient en position semi-assise et prend l'initiative de voir la saturation d'O2 du patient, le voyant ayant de plus en plus de mal à respirer. Elle m'explique ce qu'elle fait et pourquoi elle le fait (le patient était dans l'incapacité de faire un feed back du à sa toux). La saturation étant à 90 (le patient à l'habitude d'être à 98), donc je vais en vitesse prévenir l'infirmier le plus proche de la chambre (avec le passage habituelle dans le SAS). Dans un temps très court (tous les infirmiers étaient occupé dans une autre chambre donc on a du attendre quelques minutes après avoir prévenu que l'infirmier suive le protocole de sa sortie d'une autre chambre en isolement en plus du protocole à l'entrée de la chambre de Monsieur M), la femme ainsi que le fils du patient sont repatit dans la chambre du patient, nous ayant vu en sortir précédemment. Or pendant ce moment, la femme de Mosieur M ne connaissant pas son régime alimentaire durant l'hospitalisation, lui avait ramené une purée assez épaisse à manger. Sa femme commenca à lui donner à manger et ce patient s'est rapidement étouffé. Nous revenons dans la chambre rapidement, nous trouvons Monsieur M qui avait commencé à cyanos, il n'arrivait plus à respirer. Linfirmier très vite à eu le réflexe de mettre sa main dans la bouche du patient pour voir ce qui bloquait sa trachée et il a retirer une expectoration très épaisse et dure de la gorge du patient (symptôme de la tuberculose pulmonaire en general crachat et pour ce patient précisemment connu comme crachat et glaire très épais et dur lors de ses nombreuses périodes de toux). Le patient à repris sa respiration et l'aide soigante m'a demandé d'aller lui chercher du chlorure de soduim 0.9% (appellé sérum physiologique) ainsi que des cotons tiges spéciales pour la bouche pour lui faire un nettoyage buccal (la purée étant rester dans la bouche). Donc j'imbibais les tiges de sérum physiologique (j'ai changé de gants entre temps pour être stéril un maximum) et je les donnais à l'aide soignante qui nettoyais la bouche du patient. En attendant, l'infirmier repris la saturation d'O2 du patient qui augmentais petit à petit de nouveau. Ayant tout terminer, l'infirmier demande à la femme ainsi qu'au fils de Monsieur M de sortir de la chambre pour pouvoir leur
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