ADM1002 TN1, initiation à la gestion

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Question 1 (5 points)

En quoi l’entreprise SEMCO remet en question les principaux principes associés à l’organisation scientifique du travail (Taylor) et à l’administration classique (Fayol)? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement les liens que vous faites avec les principes de l’organisation scientifique du travail et de l’administration classique.

Tout d’abord, SEMCO est une multinationale brésilienne, fondée en 1952. Antonio Semler, fonde  l’entreprise Semler & Co. Entreprise dans la construction navale et par la suite un fournisseur pour les entreprises brésiliennes. L’entreprise intervient dans différents secteurs  par la suite (pompe pour les pétroliers, dispositifs de refroidessement de climatiseurs). Antonio Semler décide, en 1980, de remettre le rôle de PDG de SEMCO à son fils, Ricardo Semler.

SEMCO se doit de changer leur façon de faire de manière fondamentale du à un contexte économique difficile (instabilité économique et l’hyperinflation).

On constate rapidement la divergence entre les principes de l’organisation scientifique du travail et de l’administration classique en lisant le cas de La SEMCO. Voici donc quelques exemples qui démontre que La SEMCO  remet en question ces principes de Fayol et de Taylor.

SEMCO abandonne par exemple l’obligation pour les employés d’arriver au travail à une heure fixe (exemple, 8h du matin) ou bien par la supression de la règlementation du code vestimentaire.  Ce qui vient à l’encontre du principe de la discipline selon Fayol qui démontre que les membres doivent se plier aux conventions établies dans l’entreprise en matière d’obéissance, d’assiduité, d’activité et de marques extérieures de respect.

SEMCO change la structure organisationnelle de la compagnie. En 2000, SEMCO est assurée par une équipe de cinq personnes, ce qui permet à Sembler de se retirer des activités de l’entreprise. Son plus grand souhait est que l’entreprise n’ait plus besoin de lui, ce qui arrive en 2005. Il se retire presque totalement des activités de la SEMCO. Fayol lui pronait le principe d’unité de direction.

SEMCO mise d’abord et avant tout sur les intérêts et les idées des employés et non pas selon les intérêts de l’entreprise comme le mentionne l’administration classique qui affirme que les buts de l’entreprise doivent primer les intérêts indivuels.

De plus, dans la compagnie SEMCO, il n’exite plus de tite officiel et plus de fonction spécifique dans l’organisation. Tout comme il n’y a plus de département (par exemple : les ressources humaines ou service informatique). La hiréarchie ne fait donc plus partie de ce système de gestion. SEMCO ne fait pas la différence entre un employé de direction, un employé ou un visiteur. La hiérarchie n’est donc plus un principe important comme le voulait Fayol. La division du travail n’est donc plus de mise dans la gestion SEMCO.

Ricardo Semler et son équipe ne voit plus de sens à la structure d’organisation classique. Selon lui, les orgnigrammes n’ont pas leur palce dans une entreprise. Il supprime les niveaux hiérarchiques et élimine les titres.

Tout comme Fayol,  Taylor prone pour une division entre la direction (gestionnaires) et les employés exécutant. Ce que la SEMCO mets de côté.

«Il constate que le terrain de stationnement n’a pas d’organisation particuière, c’est-à-dire qu’il n’existe pas d’espaces assignés aux personnes et que l’on n’y  fait pas la différence entre directeur, employé ou visiteur (Pozzebon, 2008). » (La SEMCO : avec ou sans Ricardo, p.5)

Selon Henri Fayol, le principe de l’ordre est important : selon lui il y a une place pour chaque chose et chaque chose à sa place et une place pour chaque personne et chaque personne à sa place. Hors, chez SEMCO, désormais, les employés n’ont plus de bureau fixe, selon lui, personne n’est le propriétaire de son bureau (Pozzebon, 2008). De plus, les employé sont libre de prendre congé quand bon leur semble ou de faire une sieste en milieu d’après-midi. Les employés sont plutôt installés avec des stations de travail (non fixes). Les employés ont de la flexibilité dans leur horaire et organise leur journée selon leurs activités et préférences.

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