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Adm 1002 Initiation à la gestion

Étude de cas : Adm 1002 Initiation à la gestion. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Janvier 2021  •  Étude de cas  •  2 713 Mots (11 Pages)  •  645 Vues

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ADM 1002

Initiation à la gestion

Fichier-réponse

Travail noté 3

20 points

Feuille d’identité

Consignes

  1. Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.
  2. Commencez votre travail à la page suivante, à la suite de la feuille d’identité.
  3. Sauvegardez votre travail de cette façon : ADM1002_TN3_PRÉNOM_NOM.
  4. Utilisez l’outil de dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre personne tutrice.

NOM   E        

PRÉNOM   Julie        

NUMÉRO D’ÉTUDIANT 19376059        

TRIMESTRE automne 2020        

ADRESSE _____

CODE POSTAL        

TÉLÉPHONE DOMICILE        

TÉLÉPHONE TRAVAIL         

CELLULAIRE         

COURRIEL        

NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Jean Gauthier        

DATE D’ENVOI 31 décembre 2020        

Réservé à l’usage de la personne tutrice

DATE DE RÉCEPTION         

DATE DE RETOUR         

NOTE         

Commencez la rédaction de votre travail à la page suivante.

[pic 1]

Question 1

Quelle est la nature des situations problématiques?

Suite à la lecture du cas de « La Société Moderne», j’ai décelé quelques situations problématiques. Premièrement, on y mentionne que l’on  a récemment assisté à une importante  baisse de productivité chez les ouvriers.  « La baisse de productivité inquiète beaucoup le président ; l’absentéisme est à son taux le plus élevé, alors que le moral des travailleurs semble à son plus bas » (La Société Moderne, p.5, 2009).  

De plus, on a constaté une baisse des profits causée par une diminution du volume des ventes. « Depuis deux ans, la Société Moderne est confrontée à une réduction importante des profits. Les ventes ont diminué légèrement alors que la compétition avec les autres producteurs s’est accentuée, surtout celle provenant des produits importés. Les coûts de production, eux, ont augmenté à cause des coûts plus élevés des matières premières, des hausses de salaires et d’une baisse globale de la productivité à l’usine. » (La Société Moderne, p.4-5, 2009)

En plus de la baisse de productivité et de la baisse des profits, on constate une problématique au  niveau du style de gestion. En effet, le style de gestion trop stricte, le manque de communication entre les employés et les employeurs représente un problème, tout comme l’est le manque de motivation des employés.

Question 2

Quelles sont les causes et les conséquences des situations problématiques que présente ce cas?

Les problèmes évoqués précédemment découlent probablement des choix stratégiques,

administratifs et opérationnels qui ont été faits dans le passé.

Niveau stratégique

Plusieurs causes peuvent expliquer les situations problématiques de l’entreprise. Tout d’abord,

on pourrait expliquer la baisse des profits par la légère diminution des ventes de l’entreprise. De plus, les coûts de production ont augmenté. Cette hausse des coûts peut s’expliquer par différents facteurs, comme l’augmentation salariales ainsi que l’élévation du prix des matières premières.  Cette réduction de profits peut également  s’expliquer par le fait que M. Letendre n'a pratiquement pas fait de  modification organisationnelle depuis 1946 (La Société Moderne, p.4, 2009).  

Une des conséquences qui peut découler de ce problème est que la compétition se voulant de plus en plus féroce peut davantage frapper l’entreprise et en faire diminuer les profits encore plus.

Niveau administratif

Le style de gestion très stricte et les méthodes de contrôle très rigoureuses semblent aussi avoir un impact négatif sur l’entreprise. En effet, avec la trop grande standardisation des procédés, le contrôle des opérations devient inefficace. « Le contremaître doit veiller au respect de ces méthodes et procédures et il doit « coûte que coûte » faire observer les programmes et les échéanciers de production. » (La Société Moderne, p.5, 2009). Ainsi, le contremaître utilise une forme de contrôle centralisé qui « s’apparente à un exercice formalisé auquel doivent implicitement se plier les employés. » (Bédard, Ebrahimi et Saives,  p.335, 2011). Pourtant, comme on peut le constater à la lecture du  sondage d’attitude, 52 % des travailleurs ont affirmé que leur travail n’exige pas beaucoup de supervision et 60 % des employés ont affirmé qu’ils feraient un meilleur travail s’il y avait moins de supervision  (La Société Moderne, p.12, 2009).

Conséquemment, cette forme de gestion autoritaire fait que  « les membres n’ont aucune responsabilité, ce qui peut entraîner un climat d’insatisfaction dans le milieu de travail » (Bédard, Ebrahimi et Saives, 2011, p.335). On apprenait aussi dans le sondage d’attitude réalisé que 54 % des employés pensent qu’une meilleure communication améliorerait leur performance et 64 % des répondants affirment qu’ils ont besoin de plus de latitude pour fixer leurs propres objectifs  (La Société Moderne, p.12, 2009) . Il est beaucoup plus difficile pour des travailleurs de se sentir impliqués et de sentir un attachement face à l’entreprise dans une telle situation et cela a un impact direct sur leur motivation et leur productivité.  

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