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Economie cas OCDE Arme budgétaire

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Par   •  18 Janvier 2017  •  Étude de cas  •  1 760 Mots (8 Pages)  •  813 Vues

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    En cette année 2016, selon l’INSEE, la France connait une faiblesse de sa croissance économique, c’est-à-dire de l’évolution annuelle du Produit Intérieur Brut, qui est en progression de 1.3% à peine supérieur à celui de l’an passé. Ce qui n’était pas prévu pourtant par le gouvernement.

    I) Analyse des raisons de la faiblesse de la croissance économique française en 2016 selon L’INSEE :

    En effet, pour la France l’année 2016 a été dure sur le plan économique. Mais cela n’est pas sans lien avec les raisons sociales de la France, notamment touché ainsi que très marqué les grèves de ce printemps et les attentats qui ont frappé le pays, chacun faisant perdre 0.1 point de croissance. Viennent se greffer à cela les différentes incertitudes politiques qui se sont accrues lors de cette année.

De plus, le commerce mondial (quantité de flux de marchandises et de service échangé dans le monde) est dans une ère peu dynamique. Mais encore selon Dorian Roucher (chef de la division conjoncturelle) les exportations sont très décevantes et les entreprises françaises perdent actuellement beaucoup de part de marché. La croissance française semblerait donc inférieure à celle de ses voisins de la zone euro.

L’annonce de la sortie de l’Union Européenne de l’Angleterre (Brexit) a de nouveau jeté un froid sur l’économie laissant moins de place à l’optimisme.

Le retard de livraison d’Airbus ainsi que les mauvaises récoltes de céréales ont amené à l’économie française une baisse.

Tous ces problèmes mis bout à bout sont la raison de cette baisse de croissance au vu de ce qu’en espéré l’État, chose à laquelle il a essayait de remédier par la mise en place d’un crédit d’impôts afin d’augmenter la compétitivité et l’emploi ainsi qu’une baisse de charges du pacte de responsabilité. Cependant ces avantages pour les entreprises n’ont eu aucun effet.

    Malgré les avantages de l’État durant cette année donnée aux entreprises afin qu’il ne soit pas un frein à l’économie française les raisons sociales ainsi que les différents problèmes ont engendré une baisse les investissements, une stagnation de la consommation des ménages, un secteur touristique en chute, qui mis bout à bout ont rendu l’économie française dure.

    II) Facteur favorables à la reprise de la croissance :

    Malgré cette année 2016 difficile, il semblerait qu’en fin d’année fin d’année sur le plan hors exportation il y ait de l’amélioration.

    En effet, certains facteurs seraient favorables à la reprise de croissance de la France. Selon L’INSEE les partons français gardent le moral, malgré une faible quantité d’investissement de leur part en cette année il semblerait que ce ne soit que temporaire. De part des marges pour les entreprises réalisé qui sont plutôt bonne (équivalente à celle de 2008) ainsi que des taux d’intérêts à des plus bas historiques, elles seraient donc dans la capacité à faire des investissements voir des gros où elles feraient probablement appel au marché financier externe (marché des capitaux, demande d’argent auprès des Banques) si leur capacité d’autofinancement ne suffit pas (capacité d’autofinancement = Bénéfices Réalisés – Dividendes), ce qui serai bon pour l’économie. De plus au vu du Brexit, les investisseurs fuyant l’Angleterre pourrait très bien être amené à investir au sein de la France et pourrait également attirer par sa proximité de la main d’œuvre qualifié afin de travailler pour la France se qui serai un intérêt crucial pour l’hexagone. Elle augmentera donc le nombre de consommateur qui devrait évoluer une ligne avec un plus grand pouvoir d’achat (pouvoir d’achat : quantité de biens et services qu’un individu peut acheter pour un revenu donné) ainsi que par une inflation faible (augmentation durable, générale, et auto-entretenue des prix des biens et des services).

De plus, la création d’emploi est plutôt dynamique : 165000 emplois supplémentaires sont attendus en 2016, avec également des salaires qui progressent toujours.

    Cependant malgré des investissements qui semblerai être nombreux et des ménages près à consommer d’avantage que cette année par un pouvoir d’achat grand, la stabilisation du prix de pétrole et entrainera une inflation qui pourrai diminuer le pouvoir d’achat des ménages et remettre en doute une fois encore la croissance du pays.

    III) Lien entre masse monétaire, masse économique et inflation :

    Rappel de définition :

  • Masse monétaire : quantité de monnaie en circulation dans une économie à un moment donnée.
  • Masse économique : quantité de production, répartition, distribution, et consommation des richesse d’un pays.
  • Inflation : augmentation durable, générale, et auto-entretenu des prix des biens et des services.

    En effet, ces termes sont tous liés les uns aux autres, on peut le voir par le fait que les banques sont dans la capacité à créer de la monnaie au-delà de leur richesse propre, elles ont donc le pouvoir de création de monnaie. Cette création de monnaie est faite dans le but que les banques puissent accepter au ménages leur demande de crédit ou prêt pour financer leur projet plus tôt et gagner de l’argent au plus vite. Cet argent crédité sur le compte du ménage, augmentant leur pouvoir d’achat ainsi qu’une augmentation de leur consommation. Imaginons se scénario étendu à la France, il y aura donc une augmentation massive de la consommation dans tout le pays. Les prix, liés à une demande forte et une offre plus faible que celle-ci, augmenterons donc très rapidement. Le pays sera donc dans une phase d’inflation et la valeur de la monnaie du pays serai en chute libre.

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