Synthèse de culture générale : à toute vitesse

Depuis les premières courses automobiles de la fin du XIXème siècle, les performances de ce moyen de déplacement, est un emblème de la société contemporaine. Une photographie appelé «une course de formule 1» montre la performance de ces bolides lancés a toute vitesse. Objets de consommation, ils représentent un symbole Pour beaucoup, incarné par la DS, Déesse , D’après Barthes Dans l’extrait de « la nouvelle Citroën » Dans son essai mythologique de 1957 réédité en 2014. Excepté pour leeiris qui prends le parti de s’attarder sur l’absurdité des courses automobiles capable de tuer dans un roman de 1976 «frêle bruit», Tous reste fasciné par la vitesse emblématique de la course de Formule 1, selon Domecq dans son essai ce que nous dit la vitesse de 2013.

Ainsi, nous nous demanderons en quoi l’automobile représente le culte moderne de la vitesse pour se faire envisageons là comme un nouveau spectacle pour les passionnés de vitesse pour ensuite le relier à une mythologie de la modernité.

Véritable spectacle sportif, les courses automobiles s’apparente au jeu de cirque d’une nouvelle ère , exaltant une fascination pour la vitesse et la mort.

Domecq s’intéresse au Grand prix automobile, suivi par des millions de téléspectateurs, considérant qu’ils s’accorde au jeu du cirque. Leiris n’y est pas non plus indifférent, car il décrit son ressenti face au Grand prix automobile de Monza en Italie mis en spectacle épique ou la clameur d’un public exciter se mêle dans les moteurs. cette compétition hors du commun se traduit dans le choix d’une prise de vue sur la photographie « le Grand prix de Formule 1 ».

La puissance et l’agressivité quasi surnaturelle des bolides qui envoûte les spectateurs. Domecq fait part de cette fascination qui ne révèle pas seulement d’un intérêt de la technique et de la mécanique, mais touche toutes les générations, sexes, spectateurs passionnés mais aussi amateurs. Barthes Explique comment la Citroën a réussi à créer une voiture qui suscite un engouement similaire : la nouvelle DS 19. Cette dernière qui émerveille le grand public par son nouvel aéro dynamisme et par l’innovation de ses agencement. Pour autant, LEiris reste étanche à cette machine, portant un regard péjoratif et distancié sur les compétitions. La forme des bolides du Grand prix fait l’objet de vision fantasmé. Cette fascination masques les pulsions de mort moins avouables chez les spectateurs attiré par un sport de vitesse dangereux et parfois mortel qui peut lui servir de défoulement. Avec lucidité, Leiris avoue la dangerosité accepté d’un sport meurtriers quand il mentionne la présence d’une équipe de professionnels, Prête à intervenir en cas de panne ou accident, estimant que le Grand prix automobile de Monza ça ressemble au spectacle de la reine antique ou les chrétiens étaient livrés aux Lions. La photographie révèle combien les courses automobiles est une compétition de l’extrême. A contrario, selon Barthes, la DS 19, moins agressif et sportive apparaît comme une voiture rassurante du mouvement contrôlé, au grand public amateur d’automobiles. Un nouveau spectacle moderne, la voiture incarne bien les fantasmes d’une société fascinée, entre autres, à la vitesse et pulsions de la mort. Comment, ceci entre dans une mythologie de la modernité ?

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