Synthèse Vitesse

Synthèse corpus de documents

Les voitures sont aujourd'hui des objet de la vie courante leur utilisation est banalisé comment en est on arrivé là? Pour en parler nous nous appuierons sur les documents suivant: un recueil de portrait datant de 1984 La vitesse de Sagan ,un extrait du roman Cette histoire-là de alessandro Baricco datant de 2005, la chanson Harley Davidson de Gainsbourg en 1967 et pour finir une photographie de Lartigue prise lors du grand prix de l’ACF du 26 juin 1912.

Quel est le rapport de l’Homme à la machine?

Pour répondre à cette question nous allons étudier différents aspect de ce corpus de document en commençant par la question existe t il une soumission? Suivi par l’ampleur à laquel une machine peut remplacer l’Homme ou le compléter et finir par le ressenti au contact des machines.

Dans la vitesse de Sagan les voitures sont des machine que l’on apprend à contrôler. Deux manière de l’aborder soit on est esclave en étant dépendant lorsqu’elle explique que rien ne peut déloger une personne de son automobile une fois l’emprise faite. Ou bien on est dompteur et c’est cette sensation qui est recherché celle qui permet de maintenir cette impression de contrôle. Dans Cette histoire-là Alessandro nous fait comprendre que la voiture représente une avancée extraordinaire qui permet de repousser les limites de l’Homme ce qui en revenant au texte de sagan est exprimé de sorte à ce que l’on comprenne qu'à travers la voiture, la vitesse serait un nouveau moyen d’expression. La ou pour Sagan lorsque l’on utilise une voiture l’être humain redevient un animal sauvage pour alessandro c’est plutôt un objet d'émerveillement.

La chanson Harley Davidson de Gainsbourg aminci l'indépendance que l’homme pourrait avoir avec la machine notamment en la sexualisant et en lui donnant une sorte d’exclusivité. Dans la chanson il y a des allusion sexuelles plus marqué que dans les autres document car elle procure un ressenti aussi intense que celui de la mort Sagan parle de plaisir mortel ce qui est un paradox car le mot plaisir fait attrait à du positif, alors que l’idée de la mort est ancrée dans le négatif. La voiture révèle donc l’Homme mais peut aussi entraîner sa chute. Mais à l’opposé; c’est un moyen d’être vivant. On ressent dans la chanson de gainsbourg une impression d’exclusivité donné à la machine “je n’ai besoin de personne en Harley D” est une phrases forte de sens il y a un relation assez forte entre lui et sa Harley pour couper ses rapports avec les autres.

Pour finir dans la photographie de Lartigue on constate une vision binaire. D’un côté les piéton immobile en simple spectateurs qui devraient être net sont flou et l’automobiliste lui en mouvement est net ce qui met en accent cette partie de la photographie. Cette photographie donne l’impression que l’acteur automobiliste qui malgré le fait qu’il soit en action est maître de ses mouvement il reste net alors ques les spectateurs ceux qui restent sur le côté à regarder eux sont happé par cette vitesse. ce qui est confirmé par Alessandro lorsqu’il compare les voitures à des éléments magique dans l’oeil des spectateurs qui sont eux comparé à des enfants. Cependant il y a des risque

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