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Fiche analyse de document

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Par   •  18 Mars 2019  •  Fiche  •  3 071 Mots (13 Pages)  •  759 Vues

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Fiche d’analyse du document 2

Références bibliographiques :

Supertino, Gaétan. Grèves, humanitaire, dons… être solidaire nous fait-il du bien ?. Europe 1 [en ligne], le 3 avril 2018, consulté le [04/02/2019]. Disponible sur : https://www.europe1.fr/developpement-personnel/greves-humanitaire-dons-etre-solidaire-nous-fait-il-du-bien-3616796 

Biographie succincte de l’auteur :

Journaliste web, service société, santé, développement personnel et remplaçant chef d’édition chez Europe 1 depuis 2015, il travaille également comme journaliste presse écrite chez Le Monde des religions depuis 2015. Il a travaillé pour l’Express et Nice-Matin. Il a obtenu une licence en philosophie à l’université François Rabelais de Tours, un Bac+3 de journalisme/presse écrite/web à l’école du journalisme de Nice (EDJ Groupe) et un Master pro en sciences des religions et de la laïcité à l’école pratique des Hautes Études.

Résumé informatif :

Le terme «solidarité» peut s’appliquer à quiconque s’engage, agit ou prend la parole pour soutenir une personne, un groupe ou une cause dont il s’estime «solidaire», dans le cadre d’une association, d’un corps de métier, ou à titre individuel. Europe 1 a décidé de s’intéresser à cette notion de solidarité, et aux bienfaits personnels qu’elle apporte à celui qui s’engage dans une démarche solidaire. Il existerait aujourd’hui deux versions de solidarité : d’un côté, une solidarité nationale, à travers les politiques publiques de solidarité et de l’autre, un important développement de l’engagement humanitaire avec une multiplicité d’actions associatives ou solidaires. Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes et d’actifs se sentent investis d’une mission de solidarité. Toutefois, la solidarité n’est pas nécessairement porteuse de bien-être et d’accomplissement. Un acte solidaire engage souvent la totalité de son être et parfois, les causes ou les personnes pour lesquelles on se bat aboutissent à un échec et la possibilité d’un violent retour de bâton n’est jamais exclue.«Le don de soi n’est pas toujours récompensé et l’assistance à autrui se paye aussi d’une fatigue compassionnelle bien connue des personnels de soin et de tous les aidants», rappelle le sociologue Jean-François Dortier, dans Sciences humaines. Parfois, la solidarité avec les siens peut entraîner le mépris des autres, ce qui en enlève tous les bienfaits et nous sommes aussi capables de supprimer toute forme d’empathie, en déshumanisant l’autre, en le réduisant parfois à moins qu’un animal.

Mots-clés :

Solidarité/ groupe/ besoin/ communauté/ bienfait / s’engager/ mépris des autres / déshumanisant l’autre

Arguments justifiant le choix du document par rapport à la problématique :

Document expliquant que l’Homme est bien celui qui a corrompu la solidarité à cause de son comportement, ce qui permet de soutenir la première partie du plan en démontrant le côté néfaste de la solidarité.

Critères d’évaluation de la qualité de l’information de l’information :

Document issu du site internet de la radio Europe 1. Des extraits de paroles dites par des psychologues, philosophes et neurologues tirés de revus , magazines (ex : la philosophe Marie-Claude Blais / Psychologie magazine le psychanalyste Luis Spinoza / Sciences Humaines, le psychologue Jean-François Marmion / Psychologie magazine le psychologue Frans De Waal / sociologue Jean-François Dortier, dans Sciences humaines )

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Fiche d’analyse du document 3

Références bibliographiques :

Simonian, Thomas. Et si… égoïsme et solidarité allaient de pair ?. Le journal Toulousain [en ligne], le 8 janvier 2014, consulté le [05/02/2019]. Disponible sur : https://www.lejournaltoulousain.fr/archives/points-de-vue/et-si-egoisme-et-solidarite-allaient-de-pair-30505

Biographie succincte de l’auteur :

Simonian Thomas est le directeur du Journal le Toulousain mais il a quitté ce journal le 2 juillet 2015.

Je n’ai pas trouvé plus d’information sur ce journaliste.

Résumé informatif :

Tout gouvernement nous annonce des plans de relance géniaux où l’argent coule à flots pour doper consommation et industrie. Il explique que dans ce monde humain, chacun commence par penser à son estomac,qu’il faut être égoïste pour pouvoir survivre et que notre société est ainsi purement individualiste sous l’âge primaire. Si on donne de la farine au boulanger, il saura nous nourrir en pain. Un effort de chacun et de tous en vue des échanges à venir pour vivre et participer à la vie des autres. Le socialiste croit qu’on peut aider certains à ne rien faire tout en espérant qu’ils se socialisent mais cela est contre nature , même illogique. D’après l’auteur il faudrait commencer par égoïstement travailler pour soi avant de pouvoir espérer la solidarité des autres,exprimée par l’échange gagnant-gagnant. Imaginez une société où il serait durablement possible de se nourrir sans avoir coopéré à la survie de ceux qui nous nourrissent mais cela serait une société profondément injuste. La proximité où les gens se connaissent, peuvent apprécier la réalité du handicap et décider ainsi spontanément d’aider, c’est elle la seule garantie possible de la juste solidarité. La société socialiste, qui se veut morale parce que glorifiant les non-capables, est naturellement injuste. Elle s’enfoncera toujours plus vers l’arbitraire, donc vers sa perte, tant qu’elle ne remettra pas le travail, base de la solidarité par le négoce, au centre de ses valeurs. La sortie de la misère suppose de reconnaître que l’égoïsme et la solidarité sont rationnellement liés.

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