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Étude de l'importance des conditions environementale et de la concurrence entre les espèce dans l'évolution des populations de pinsons

Guide pratique : Étude de l'importance des conditions environementale et de la concurrence entre les espèce dans l'évolution des populations de pinsons. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  20 Janvier 2019  •  Guide pratique  •  775 Mots (4 Pages)  •  786 Vues

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Nous traiterons ce sujet en 3 parties, nous présenterons dans un premier temps les deux espèces de pinsons présent sur l’île ainsi que leur alimentation puis nous parlerons de la sécheresse de 1976 à 1977 avec les modifications subit par les populations des pinsons G.fortis, enfin nous traiterons des proportions relatives des types de becs dans la populations des pinsons G.fortis avant et après la sécheresse de 2004

Le Géospize à bec moyen (Geospiza fortis) est l'une des espèces de passereaux plus connues sous le nom de pinsons de Darwin. Elle appartient à la famille des Thraupidae. Son évolution sur l’île de Daphne major est étudiée depuis une quarantaine d’année par Peter et Rosemary Grant. Ils ont remarqués chez cette espèce des variations dans la dimension du bec. Ces variation serait dû à l'existence de plusieurs allèles du gène Bmp4, déterminant la forme et la dimension du bec. Créant ainsi deux types de Geospiza fortis, les Geospiza fortis à petit bec, et à gros bec. Les Geospiza fortis à petit bec possèdent un petit bec leurs permettant de se nourrir exclusivement de petites graines (provenant de plantes herbacées) tandis que les Geospiza fortis à gros bec se nourrissent principalement de grosse graines ( provenant d’un arbuste dominant sur l’île le Tribulus cistoides). Les deux biologistes de l’évolution (Peter et Rosemary Grant) ont mesuré annuellement la fréquence de ces deux types de pinsons pour pouvoir corréler leurs constatations avec des conditions environnementale.

De l'automne 1976 à l’été 1977 une sécheresse provoqué par des phénomènes météorologiques entraîna une chute importante d’une nombre d’individus G. Fortis à petit bec passant de 1400 individus au mois de Mai 1976 à 200 individus au mois de Décembre 1977. Cependant les études de Messieurs Grant démontre que la sécheresse n'est pas directement responsable de la baisse du nombre d’individus, les responsables seraient d’autre phénomènes touchant la nourriture des Geospiza fortis à petit bec eux provoqué par la sécheresse. Ainsi dès le moi de Juin 1976 nous pouvons remarquer une augmentations de la duretée des graines passant de moins de 4.0 X a plus de 6.0 X au mois de Mars 1977. De plus nous remarquons une chute importante de l'abondance des graines passant de 10.8 grammes par mètres carrées à 3.0 grammes par mètres carrées. Ainsi les deux paramètres sont responsables d'une part de l'augmentation de l’indice de la taille du bec ainsi que de la baisse du nombre d’individus G.fortis à petit bec. Nous pouvons penser que l'augmentation de la duretée des graines est responsable de la chute du nombre d’individus G.fortis à petit bec car cette espèce se nourrit (comme présenté précédemment) exclusivement de petites graines d’une “faible” dureté, de plus l’augmentation de la taille du bec est l’adaptation des pinsons G.fortis a l’augmentation de la duretée des graines, en effet un bec plus gros leurs permettent de s’adapter à la duretée des graines.

L’île de Daphne Major abrite plusieurs espèces de pinsons les G.Fortis (à gros bec et à petit bec ) ainsi que les geospiza magnirostris (G.magnirostris). Avant la sécheresse de 2004 les pinsons G.magnirostris ( pinsons ayant colonisé l’île depuis 1983) se nourrissaient exclusivement

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