Les Maladies Neurologiques
TD : Les Maladies Neurologiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mamandine83 • 28 Mai 2016 • TD • 1 944 Mots (8 Pages) • 821 Vues
Les maladies neurologiques
Il existe de très nombreuses affections qui touchent les cellules nerveuses du cerveau.Ces affections ne sont pas entièrement comprise et sont pour certaines d'entre elles associées au vieillissement.
En France, une personne sur trois se déclare concernée par l’une de ces maladies.
Elles ont été souvent réputées incurables, mais depuis une dizaine d'années elles bénéficient d'une gamme de nouveaux traitements qui contribuent à améliorer la qualité de vie des malades.
La maladie de Parkinson :
A/Qu'est-ce que c'est ? Qu'affecte-t-elle ?
La maladie de Parkinson à été décrite pour la première fois en 1817, par un médecin Anglais.
Parkinson est une maladie neurologique chronique qui évolue lentement.
Ce trouble affecte le système nerveux central du cerveau ; mais seulement une petite partie appelée ; système dopaminergique.
Le système dopaminergique est l'endroit du cerveau ou est contenue la dopamine qui est un neurotransmetteur indsipensable au contrôle des mouvements du corps.
Lorsque la production et/ou la circulation de dopamine est ralentie ou diminuée, les cellules nerveuses communique mal. De ce fait peut s'engendrer plusieurs troubles dont la maladie de Parkinson.
B/ Facteurs, symptômes.
Le fait d'avoir Parkinson peut être lié à la génétique : plusieurs gènes de prédispositions on déjà été identifiés.
Dans certains cas c'est l'environnement qui y est pour quelque chose : exposition aux métaux lourds, pesticides, herbicides, choc à la tête (traumatisme crânien, micro infarctus cérébraux...).
Cependant il se peut aussi que la génétique et l'environnement soient tout deux liés.
La maladie de Parkinson est par des symptômes secondaires tels que des douleurs, des crampes, des fourmillements, constipation, sueurs et salivations abondantes, anxiété, déprime, irritabilité, manies.
Cependant, il y a tout de même trois symptômes permettant de confirmer la présence de Parkinson : lenteur/difficulté du mouvement ; rigidité musculaire ; et tremblements.
C/ Qui? Parkinson en France, les traitements...
Ce trouble n'est que très faiblement présent après 65 ans.
C'est autour de l'âge de 70 ans que le risque de de présence de la maladie est au plus haut.
Toutefois, les hommes sont un peu plus touchés que les femmes ; et en France environ 100 000 cas sont dépistés, et 8 000 nouveaux malades seraient déclarés chaque années.
Pour les personnes étant atteintes de Parkinson une guérison complète n'est pas possible ; cependant plusieurs moyens ont été mis en œuvre pour améliorer leur quotidien. La prise en charge thérapeutique du malade consiste à une importante organisation personnelle, entre prises de médicaments/traitements, rééducation, gestion de la vie quotidienne.
Il y existe également le traitement chirurgical, qui lui a recourt à la neurostimulation ; ce qui permet donc d’atténuer les trois symptômes primaires et donc d'améliorer la qualité de vie du Parkinsonien .
II/ L'épilepsies
A/Les origines
-Les épilepsies symptomatiques sont dues à une lésion cérébrale : malformation congénitale, encéphalite, séquelles d’une souffrance à la naissance, traumatisme crânien, accident vasculaire cérébral, tumeur, infections du Système Nerveux Central, maladies neurologiques évolutives, anomalies des chromosomes, malformations cérébrales…
-Les épilepsies cryptogéniques
Lorsque qu'on suspect un syptome mais qui ne peut être prouvée par les moyens diagnostiques actuels, on parle d’épilepsie cryptogénique,dont le nombre est en constante diminution du fait de l’évolution permanente des techniques d’exploration.
-Les épilepsies idiopathiques présentent un caractère génétique plus ou moins démontrable et concernent des sujets le plus souvent sans lésion cérébrale.
Les conditions génétiques n’induisent pas que l’épilepsie soit une maladie héréditaire donc transmissible. La transmission de l’épilepsie est très complexe et ne concerne qu’un petit nombre de cas. De plus, la même anomalie peut avoir des conséquences différentes selon les personnes.Les cas d’épilepsie provoqués par une maladie, transmise elle-même génétiquement, sont à considérer différemment.
-Les épilepsies idiopathiques de l’adulte sont toujours généralisées. Ce sont essentiellement des épilepsies, datant de l’enfance ou de l’adolescence, n’ayant pas guéri mais le plus souvent en rémission durable sous traitement.
-Les épilepsies symptomatiques ou cryptogéniques sont le plus souvent partielles. Elles représentent près de 80% des épilepsies de l’adulte. L’épilepsie peut être ancienne, en relation avec cris qui s’est produite dans l’enfance ; elle peut être récente, nécessitant la pratique d’un bilan à la recherche d’une cause séquellaire ou évolutive.
B/Qui est concerné ?
L’épilepsie peut apparaître à n’importe quel âge, mais elle survient plus fréquemment chez les enfants et adolescents, ou chez les personnes âgées.
Dans le monde, plus de 40 millions de personnes sont concernées. En France, environ 500 000 personnes sont répertoriées dont 250 000 jeunes de moins de 20 ans. 5 % de la population est ainsi susceptible de faire une crise, un jour. De fait, chaque jour, 100 personnes présentent une première crise, soit près de 40 000 par an. Une fois sur deux, cette crise peut commencer une maladie épileptique qui est, après la migraine, la première raison de consultation d’un neurologue. Tous le monde est concerné.
-Les différentes formes
La manifestation visible de l’épilepsie est la crise. Mais on restreint à tort ces crises à la crise tonicoclonique convulsive généralisée, qui se traduit par une perte de connaissance brutale souvent inaugurée par un cri, une contraction musculaire globale, des secousses de l’ensemble du corps, une reprise sonore de la respiration puis un retour progressif à une conscience normale après une période de confusion. C’est cette crise que retient l’imaginaire collectif, c’est celle qui fait le plus peur par son côté spectaculaire. En réalité, les symptômes cliniques ( la manifestation de la crise ) varient selon la fonction du cortex cérébral intéressé par la décharge responsable de la crise mais aussi selon que cette décharge a un point de départ localisé sur le cortex (on parle alors d’épilepsie partielle) ou non.
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