Explication de texte sur la Trisomie

 Cet extrait du texte d’Émile Durkheim (1858-1917), s’appelant « L’éducation morale » est consacré à la morale comme dit dans son titre . Émile Durkheim est un sociologue français considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie moderne. Dans cette extrait Émile met en évidence le paradoxe selon lequel la moralité est la même dans chacun de nous et que tant qu’on la suis, nous somme pleinement autonome or comment pouvons nous être autonome si nous suivons la même voit que tout une race ?, et c’est la qu‘intervient la sensibilité,la sensibilité qui est elle distinguent pour tout Homme, selon Émile elle nous inclinerait vers des fins dite <<individuelles, égoïstes, irrationnelles, immorales >>.Et donc que c’est deux sentiment qui crée celui de l’obligation ou l’on est contraint de faire une action a cause d’une contrainte sous l’incapacité d’user de la sensibilité.Dans un premier temps dans le texte (L.1à7)  Durkheim nous décrit la moralité comme étant dans la nature de l’Homme et de tout être raisonnable,ne dépendent pas de l’individu,suite a sa nous vairons en deuxième (L.8à13) la sensibilité qui est sous-entendu comme étant non rationnel et étant une <<faculté par laquelle les individu se distinguent >>,et ensuite nous terminerons avec les dernières ligne (L.13à16) avec le sentiment d’obligation du a mélange de la moralité avec une véritable contrainte et la sensibilité

        Nous voyons dans un premier temps des L(1à10) que la morale selon Durkheim est définie comme un ensemble de règles qu’on est sensé suivre et respecter de manière à avoir une bonne vie collectif et social

les hommes n’ont pas d’action individuelle dans l’élaboration de la morale ils n’en sont pas les auteurs,c’est dans la nature de l’homme

Il va de soi que la morale est tout d’abord posée comme une évolution 

collectif qui évolue très lentement et que l’idée « d’individu »disparaît pour prendre le nom de collectivité

l’homme le coté rationnel de l’homme et le coté sensible  

selon lequel les individus sont rattacher a la morale de leur époque, en même temps qu’ils se disent autonomes et libre d’exprimer leurs pensées/opinions. Ils pensent penser par eux-mêmes alors qu’ils suivent en fait de la conscience de leur époque Autrement dit, ils se croient libres, mais ils ne le sont pas car ils sont influencés par la morale de l’époque à laquelle ils appartiennent 

Dans un premier temps de le texte (L.1à10) Durkheim montre en quoi les individus ne peuvent pas individuellement modifier la « morale de leur temps » Ils y sont résigné . Dans un second moment (L.10à17) l’auteur intervient sur le paradoxe suivant :l’individu n’a pas ou très peu d’influence sur cette morale – c’est en ce sens qu’il est « passif » - mais néanmoins, il se considère comme sacré, en tant qu’individu. Il existe donc une contradiction entre sa passivité, et le sentiment de toute puissance qui est le sien, comme personne autonome. Enfin, dans le dernier moment de ce texte (lignes 17 à 21) 

...