Enseignement Scientifique SVT pratiques humaines et évolution d’espèces indésirables
Étude de cas : Enseignement Scientifique SVT pratiques humaines et évolution d’espèces indésirables. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Vicooooooooo • 7 Novembre 2021 • Étude de cas • 473 Mots (2 Pages) • 1 049 Vues
SVT Enseignement Scientifique
Activité : Pratiques humaines et évolution d’espèces indésirables
1/ Dans les documents 4 et 5 on nous montre que plus l’utilisation d’un produit phytosanitaire ou d’un insecticide est élevée plus le nombre d’espèces ou d’individus résistant sera élevé. On peut le voir dans le document 4 sur le graphique en 2003 il y a un peu moins de 20 millions hectares de cultures qui produisent du Bt (produit phytosanitaires), en 2010 cette production a triplé atteignant la surface de 60 millions d’hectares. En parallèle en 2003 seulement une espèce résistée au Bt, 7ans plus tard 5 espèces résiste au Bt. Sur le document 5 on peut voir qu’au fil des années et en utilisant toujours le même insecticide la chenille devenait de plus en plus résistante. Lors de la première année après pulvérisation de l’insecticide, 20 individus ont résisté. Lors de la deuxième année et toujours après pulvérisation de l’insecticide c’est maintenant le double qui résiste 40 individus. L’année suivante 60 individus résisteront.
2/ Ce phénomène s’explique par le mécanisme de l’évolution de la résistance à une substance toxique présenté dans le document 2. Dans une population sensible à une substance toxique A il est possible qu’un des individus subissent aléatoirement une mutation qui leurs conférera une résistance à cette substance toxique A sans que celle si soit utilisé. Plus tard si l’on apporte cette substance toxique A dans la population les individus sensibles meurent tandis que les individus ayant subi préalablement une mutation vont donc rester en vie et leurs fréquences augmentera au fur et à mesure des générations. Comme on peut le voir sur le document 1 au bout de 264 heures la bactérie Escherichia coli aura subit différentes mutations au cours des générations pour pouvoir résisté à la quantité de de plus en plus importantes d’antibiotique.
3/ Pour lutter contre ce phénomène de résistance au antibiotique ils font mettre en place des stratégies prophylactiques qui vont permettre de prévenir les maladies. Ces stratégies s’appuient sur différents domaines le pouvoir public et les individus eux même avec la sensibilisation sur l’abus des antibiotiques, la vaccination et les mesures d’hygiène. Sur la recherche pour trouver de nouveaux antibiotiques et vaccins. Sur le personnel de santé avec encore ici de la sensibilisation auprès des patients ainsi que des mesures d’hygiène asepsie etc. Et sur l’agriculture avec l’utilisation raisonnée des antibiotiques, sous contrôle vétérinaire Le document 6 montre qu’il faut également favoriser les polycultures car il y a moins de parasite lorsque qu’il y a plusieurs espèces végétale ensemble que lorsqu’il y a une seule espèce donc on monoculture. Et pour finir dans le document 6 pour lutter contre la résistance a une substance toxique le but serais de créée une zone qui serais dépourvus d’insecticides à proximité d’une zone traitée. Cela va permettre au descendant de garder les allèles conférant la sensibilité aux insecticides.
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