Des maladies multifactorielles : le diabète de type II
TD : Des maladies multifactorielles : le diabète de type II. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar elina.souillard • 5 Décembre 2021 • TD • 705 Mots (3 Pages) • 435 Vues
Elina SOUILLARD 101
Chapitre 11
TD1B : Des maladies multifactorielles : le diabète de type II
1- Le diabète de type II à plusieurs symptômes : la soif importante, l'envie fréquente d'uriner, la perte de poids et la fatigue. Mais aussi, des douleurs et une faiblesse musculaire dans les jambes, des pieds froids et sensibles, des infections bactériennes et des mycoses à répétition ou encore des taches de couleur ocre sur la peau.
Le rôle de l'hormone pancréatique appelée : insuline, est de stimuler le stockage du glucose sanguin dans les cellules cibles : cellules hépatique, cellules musculaires et adipocytes. Cette hormone à aussi pour rôle de réguler le taux de glycémie. En plus de sa principale responsabilité de régulatrice de glucose, elle manage également les lipides, les acides aminés et les protéines.
La glycémie moyenne normale : A jeun, la valeur normale de la glycémie oscille entre 0.7 g/L et 1 g/L. En dessous d'un certain seuil, on parle d'hypoglycémie, tandis qu'au-dessus, il s'agit plutôt d'une hyperglycémie. Le diabète quant à lui se caractérise par une glycémie supérieure à 1.26 g/L à jeun. C'est-à-dire que pour ne pas être atteint de diabète et être complètement sain il faut avoir un taux de glycémie moyen normal qui est situé entre 0,7 g/L et 1 g/L.
La glycémie :La glycémie est le taux de glucose (de sucre) contenu dans le sang. Le sucre est l'un des nutriments essentiel au bon fonctionnement des cellules de l'organisme et sert à la production d'énergie. En effet, une partie du glucose qui se trouve dans le sang est transformé en glycogène qui fournit le corps en énergie.
Hormone : une hormone est une substance sécrétée par une glande endocrine, libérée dans la circulation sanguine et destinée à agir de manière spécifique sur un ou plusieurs organes cibles afin d'en modifier le fonctionnement.
2- Les facteurs responsables de l'installation du diabète de type 2 chez les individus sont : le manque d'efforts physique, (dans le doc 3) on comprend que 20 à 40% des français, selon leur région, font moins de 4000 pas par jour alors qu'il est recommandé d'en faire au moins 10000. Ensuite, il y a le diabète gestationnel, aussi appelé diabète de grossesse, est une situation d'intolérance au glucose qui apparaît chez des femmes enceintes qui auparavant n'avaient aucun antécédent diabétique. Chez certaines, la maladie, qui se caractérise par une intolérance au glucose entraînant une glycémie supérieure à 1,26 g/l de sang, va persister au-delà de la grossesse. Le diabète gestationnel concernerait environ une grossesse sur 20. Mais il y a aussi le manque de sommeil ( 23 à 30% de risques supplémentaires de développer du diabète de type 2). Mais il y a aussi les personnes qui mangent des féculents tous les jours ou encore ceux qui ne mange pas de gras ( le gras est bon pour la santé sans en abuser).
En effet la prévention peut-être utile car si les individus faisaient plus de pas par jour ou encore manger ces six ingrédients en plus d'une alimentation saine et équilibrée : la poire, l'avocat, l'orge, la protéine de poisson, le brocoli et la patate douce. Tout cela peut en effet aider et éviter d'être atteint par la maladie.
3- En effet les facteurs génétiques ont un rôle important sur le déclenchement du diabète de type 2. Par exemple si, au niveau des antécédents familiaux, le père ou la mère est atteint du DT2, il y a 35% de risques que l'enfant en soit atteint également. Si les deux parents sont atteint du DT2 l'enfant a alors 70% de risques qu'il soit malade. Ensuite, il y a le fait que les enfants soit jumeaux : si ce sont des jumeaux monozygotes, ils ont alors 70% de risques d'être atteint, tandis que si ils sont jumeaux dizygote, ils ont entre 20 et 30% de risque d'être malade. Ces facteurs génétiques sont provoqués au niveau du mécanisme de la sécrétion de l'insuline dans une cellule. En fait, il y a une mutation d'un ou des gènes ABCC8 et KCNJ11 qui diminue la sécrétion d'insuline, ce qui crée une hyperglycémie non régulée. Dans ce cas la prévention n'est pas possible mais nous pouvons savoir quels sont les risques qu'un enfant soit atteint du DT2 à la naissance.
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