Macro économie
Cours : Macro économie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lea Esmaili • 5 Octobre 2018 • Cours • 1 882 Mots (8 Pages) • 559 Vues
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MACROECO
RÉSUMÉ CHAPITRE 1 :
- Les leçons fondamentales relatives à la formation des décisions individuelles sont que les individus font face à des arbitrages entre des objectifs alternatifs, que le coût de n’importe quelle action est mesurée en termes d’opportunités sacrifiées, que les individus rationnels prennent leurs décisions en comparant leur coûts marginaux et les avantages marginaux et qu’ils changent de comportements en réaction aux incitations auxquels ils sont confrontés.
- Les leçons fondamentales relatives aux interactions entre individus sont que les échanges peuvent être mutuellement bénéfiques, que les marchés sont habituellement un bon moyen de coordonner les échanges entre les individus et que l’Etat peut potentiellement améliorer les situations de marché s’il y a des échecs de marché ou si la situation est inéquitable.
- L’analyse économique comporte deux branches : la microéconomie et la macroéconomie. Les micro économistes étudient la manière dont les ménages et les firmes prennent leurs décisions et comment ils interagissent sur les différents marchées. Les macro économistes étudient les forces et les tendances au niveau de l’économie dans son ensemble.
- Les leçons fondamentales relatives à l’économie dans son ensemble sont que la productivité est la source fondamentale des niveaux de vie, que la croissance de la monnaie est la source fondamentale de l’inflation et que la société est confrontée à un arbitrage de court terme entre inflation et chômage.
RÉSUMÉ CHAPITRE 2 :
- Les économistes essaient de traiter leur matière avec l’objectivité des scientifiques. Comme les scientifiques, ils formulent des hypothèses pertinentes et construisent des modèles simplifiés afin de comprendre le monde autour d’eux. Deux modèles économiques simples sont le diagramme de flux circulaire et la frontière des possibilités de production.
- Les économistes utilisent des méthodes empiriques pour élaborer et tester des hypothèses.
- La recherche en économie peut se fonder sur le raisonnement inductif ou déductif. L’un n’est pas supérieur à l’autre.
- Les économistes développent des théories qui peuvent être utilisées pour expliquer des phénomènes et faire des prévisions. Pour se faire, ils doivent proposer des hypothèses.
- Le recours à la théorie et à l’observation sont inhérents à la méthode scientifique. Cependant, les économistes ardent à l’esprit qu’ils étudient des êtres humains et que ces derniers ne se comportent as toujours de manière rationnelle ou cohérente.
- Une assertion positive explique comment le monde est. Une assertion normative explique comment le monde devrait être. Lorsque les économistes formulent des assertions normatives, ils agissent davantage en conseillers politiques qu’en scientifiques.
- Les économistes qui conseillent les décideurs politiques ont des avis contradictoires soit du fait des différences dans leur jugements scientifique, soit du fait de différences de valeurs. A d’autres moments, les économistes ont un point de vue unifié, mais les décideurs politiques peuvent choisir de l’ignorer.
RÉSUMÉ CHAPITRE 20 : LA MESURE DE REVENU D’UNE NATION
- Comme chaque transaction implique un acheteur et un vendeur, la dépense totale de l’économie doit être égale au revenu total de l’économie.
- Le PIB mesure le dépense totale d’une économie de biens et services nouvellement produits ainsi que le revenu total retiré de la production de ces biens et services. Plus précisément, le PIB est la valeur marchande de tous les biens et services produits dans un pays au cours d’une période de temps.
- Le PIB est divisé en quatre composantes de la dépense : la consommation, l’investissement, les dépenses publiques et les exportations nettes. La consommation inclut les biens et les services des ménages, à l’exception de l’achat de logement neuf. L’investissement inclut la dépense en nouveaux équipements et en structures, il inclut des achats de logements neufs de ménages. La dépense gouvernementale inclut les achats de biens et services par les gouvernements nationaux ou locaux. Les exportations nettes sont égales à la valeur de biens et de services produits au niveau domestique à l’étranger (exportations) moins la valeur des biens et services produits à l’étranger et vendus au niveau domestique (importations).
- Le PIB nominal utilise les prix courants pour valoriser la production de biens et services de l’économie. Le déflateur du PIB – la ratio du PIB nominal et du PIB réel – mesure le niveau de prix dans l’économie.
- Le PIB est une bonne mesure du bien-être économique car les individus préfèrent des revenus élevés à des revenus faibles. Cependant, il n’est pas une mesure parfaite du bien-être. Par exemple, le PIB exclut la valeur du loisir et d’un environnement propre.
RÉSUMÉ CHAPITRE 21 : MESURER LE COÛT DE LA VIE
- L’indice des prix à la consommation mesure le coût actuel d’un panier de biens et services relativement à son coût évalué à l’année de base. Cet indice est utilisé afin de mesurer le niveau général des prix dans l’économie. Le changement en pourcentage de l’indice des prix à la consommation mesure le taux d’inflation.
- L’indice des prix à la consommation est une mesure imparfaite du coût de la vie pour trois raisons. Premièrement, il ne prend pas en compte la possibilité dont disposent les consommateurs de substituer des biens dont les prix ont baissé aux biens dont les prix ont augmenté. Deuxièmement, il ne considère pas l’augmentation du pouvoir d’achat de la monnaie engendrée par l’introduction de nouveaux biens. Troisièmement, sa valeur est faussée par les modifications de la qualité des biens et services qui ne peuvent pas être prises en compte. Du fait de ces problèmes de mesure, l’IPC, surestime la vraie valeur de l’inflation.
- Bien que le déflateur du PIB mesure également le niveau général des prix de l’économie, il diffère de l’indice des prix à la consommation car il considère les biens et services produits dans la nation plutôt que les biens et services consommés par les nationaux. Par conséquent, les biens importés affectent la valeur de l’indice des prix à la consommation mais la valeur du déflateur du PIB. De plus, alors que le calcul de l’indice des prix à la consommation repose sur le choix d’un panier fixe de biens et services, la composition du panier de biens et services qui servent à mesurer le déflateur du PIB change automatiquement chaque année avec la composition même du PIB.
- La comparaison de valeurs monétaires en différents points du temps n’est pas une méthode valable pour mesurer l’évolution du pouvoir d’achat. Afin de comparer une valeur monétaire entre aujourd’hui et hier, il est nécessaire de déflater la valeur présente en utilisant un indice de prix.
- De nombreux contrats privés ou textes privés de loi prévoient d’utiliser les indices de prix afin d’indexer certaines valeurs (comme les salaires) sur l’inflation.
- Une correction des effets de l’inflation est essentielle lorsque nous considérons les taux d’intérêts. Le taux d’intérêt nominal est celui que l’on retient habituellement : c’est le taux qui s’applique sur une somme monétaire déposée sur un livret d’épargne par exemple. En revanche, le taux d’intérêt réel prend en considération les changements de la valeur de la monnaie dans le temps. Le taux d’intérêt réel est égal au taux d’intérêt nominal – le taux d’inflation.
Résumé chapitre 3 : LES FORCES DU MARCHÉ : L’OFFRE ET LA DEMANDE
- Les économistes utilisent le modèle de l’offre et de la demande afin d’analyser les marchés concurrentiels. Sur un marché concurrentiel, il y a de nombreux acheteurs et de nombreux demandeurs, chacun d’eux ayant peu ou n’ayant pas d’influence sur le prix de marché.
- La courbe de demande montre de quelle manière la quantité demandée d’un bien dépend du prix. D’après la loi de la demande, à mesure que le prix d’un bien diminue, la quantité demandée augmente. De ce fait, la courbe de la demande est décroissante.
- En plus des prix, d’autres déterminants des décisions d’achats des consommateurs incluent le revenu, le prix des substituts et des compléments, les préférences, les anticipations et le nombre d’acheteurs et la structure de la population. Si un de ces facteurs change, la courbe de demande se déplace.
- La courbe d’offre montre que quelle manière la quantité offerte d’un bien dépend du prix. D’après la loi de l’offre, à mesure que le prix d’un bien augmente, la quantité offerte augmente. De ce fait, la courbe d’offre est croissante.
- En plus des prix, d’autres déterminants des décisions de production des offreurs incluent les prix des biens produits et de la production jointe, les prix des facteurs de production, la technologie, les anticipations, le nombre de vendeurs, les facteurs naturels et sociaux. Si un de ces facteurs change, la courbe d’offre se déplace.
- L’intersection entre la courbe d’offre et la courbe de la demande détermine l’équilibre de marché. Au prix d’équilibre, la quantité demandée est égale à la quantité offerte.
- Le comportement des acheteurs et des vendeurs amène naturellement le marché à l’équilibre. Lorsque le prix de marché se situe au-dessus du prix d’équilibre, un excédent de bien se constitue, ce qui fait chuter le prix de marché. Lorsque le prix de marché se situe au-dessous de son prix d’équilibre, une pénurie se constitue, ce qui fait augmenter le prix de marché.
- Afin d’analyser comment un évènement influe sur un marché, nous utilisons le diagramme de l’offre et de la demande pour examiner commente ce choc affecte le prix et la quantité d’équilibre. A cet égard nous suivons trois étapes. Tout d’abord, nous devons dire si ce choc fait bouger la courbe d’offre, la courbe de demande ou bien les deux. Deuxièmement, nous devons déterminer la direction de ce changement. Troisièmement, nous devons comparer ne nouvel é quilibre avec l’équilibre intitial.
- Dans les économies de marché, les prix sont des signaux qui guident les décisions économiques par conséquent donc l’allocation des ressources rares. Pour chaque bien de l’économie, le prix garantit que l’offre et la demande sont équilibrées. Le prix d’équilibre détermine alors quelle quantité de bien l’acheteur décide d’acheter et quelle quantité de bien le vendeur décide de produire.
RÉSUMÉ CHAPITRE 24 : L’EPARGNE, L’INVESTISSEMENT ET LE SYSTÈME FINANCIER
- Le système financier d’une économie développée est composé de nombreux types d’institutions financières telles que le marché obligatoire, le marché boursier, les banques et les fonds d’investissement. Toutes ces institutions agissent afin de diriger les ressources des ménages qui désirent épargner une partie de leur revenu vers les ménages et les firmes qui désirent emprunter.
- Les identités comptables issues de la comptabilité nationale permettent de révéler des relations importantes entre les variables macroéconomiques. En particulier, dans une économie fermée, l’épargne nationale doit être égale à l’investissement. Les institutions financières mettent en place les mécanismes qui garantissent que l’épargne des uns financera l’investissement des autres.
- Les taux d’intérêts est déterminée par l’offre et la demande des fonds prêtables. L’offre de fonds prêtables provient des ménages qui désirent épargner et prêter une partie de leur revenu. La demande de fons prêtables provient des ménages et des firmes qui désirent emprunter pour investir. Afin d’analyser comment une politique publique ou un évènement économique affectent le taux d’intérêt, nous devons étudier ses effets sur l’offre et la demande de fonds prêtables.
- L’épargne nationale est égale à l’épargne privée + l’épargne publique. Un déficit budgétaire de l’Etat représente une épargne négative et par conséquent réduit l’épargne nationale et l’offre disponible de fonds prêtables pour financer l’investissement. Lorsque le déficit budgétaire de l’état évince l’investissement, il réduit la croissance de la productivité du PIB.
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