Les conflits et l’intégration sociale ne sont pas opposé?

Selon Georg Simmel (1858-1918) le conflit social est un facteur de cohésion sociale et d’integration sociale. Durkheim (1858-1917) lui, le conflit est liée à la division du travail et il vois dans certains conflit une sorte d’anomie.

Les conflits sociaux sont des situations dans lesquelles il y a un affrontement entre plusieurs groupes sociaux opposant leurs idées et leurs intérêts. L’integration sociale est les modes d’attachement des membres a un groupes ou a une société.

Suite a cela nous nous demanderons si les conflits et l’intégration sociale ne sont pas opposé? Nous verrons dans un premier temps que les conflits permettent de s’intégrer et pour finir que les conflit est sources de cohesion sociale.

Commençons cette etude par parler des conflits permettant l’integration sociale.

Les deux sociologues O. Fillieule et D. Tartakovski (doc1), sont du meme avis que G.Simmel. En effet, ils sont également d’avis que le conflit social permet aux individus de se socialiser. Pour eux, les manifestations sont synonyme de socialisation: elles les incitent à se pencher sur les avis des autres, sur les pensées et leurs intérêts qui parfois sont identiques. Les manifestations seraient un « renforcement de la solidarité » et et les « plongent dans une dynamique collective » c’est a dire quelles augmente le contact humain.

Les conflits sociaux permettent également l’integration des individus car pendant la participation a des événements de lutte tels que les grèves, les individus renforcent leurs réseaux relationnel et leurs carnet d’adresse qu’ils peuvent ainsi mobilisé lors de la fin des conflits. Leurs integration sociale est donc amplifiée.

Les conflits du travail emplifie également l’integration sociale puisque en effet les conflits du travail permettent de renforcer la solidarité entre les salariés et donc permet l’integration.

Poursuivons en parlant des conflits sources de cohésion sociale.

Pour commencer on observe une forte participation des entreprises dans des manifestations en 2007 selon la catégorie socioporfessionnelle (doc3). Generalement, les étudiants et les professions intermédiaires sont ceux qui font le plus de manifestation avec 62,5% et 53,5%. En generale, les profession intermédiaire sont ceux qui manifestent le plus car étant syndicalisés(doc2), ils ont un risque plus faibles d’être exposé au chômage. Ont constate donc un liens entre le taux de syndicalisation et la porpension à manifester.

Les conflits du travail sont donc sources de cohésion sociale puisque en effet, selon Marx (1818-1883), le conflit est le moteur de l’histoire et permet aux Hommes d’agir ensemble vers un objectif commun, ce qui renforce la cohésion du groupe, le conflit devient donc un facteur de cohésion sociale.

Pour conclure, nous avons pue voir que les conflits sociaux contribue donc à la cohesion sociale et donc a l’intégration sociale parce qu’ils permettent aux individus qui s’engage, dans des conflits, de s’integer à un groupe.

Nous pouvons donc dire que les conflits sociaux et l’integration sociale ne sont pas antinomique.

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