Dissertation SES terminale ES sur les politiques climatiques

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        Les émissions de gaz à effet de serre ont fortement augmenté dans le monde depuis plusieurs décennies, depuis les années 1990, elles ont augmenté de 47%, les pouvoirs publics sont donc dans l'obligation de trouver des solutions afin de protéger l'environnement de la pollution et de protéger aussi les Hommes.

        Le sujet que nous avons à traiter est le suivant: dans quelle mesure les instruments de la politique climatique sont-ils efficaces? On compte trois instruments de la politique climatique. D'abord le marché de quota qui est un lieu où s'échange des droits à produire des externalités négatives. Ceux ci se négocient à des prix fixés par la confrontation de l'offre et de la demande. Ensuite il existe la taxation qui est un instrument économique consistant à faire payer aux producteurs leurs activités sources d'externalités négatives au profit de la collectivité. Enfin il existe la réglementation qui est un instrument visant à édicter des règles, des normes environnementales permettant de limiter les pratiques sources d'externalités négatives.

        Il peut être intéressant de se demander en quoi les trois instrument mis à disposition (marchés de quotas, réglementation et taxation) ont-ils des limites.

        Dans une première partie nous verrons l'efficacité de ces trois instruments puis dans un second temps nous aborderons leurs imites, leurs faiblesses.

        Tout d'abord, nous allons démontrer l'efficacité des instruments de la politique climatique.

        En premier lieu, le marché de quota est donc un lieu d'échange entre les offreurs et les demandeurs. Ils y échangent «des droits à polluer». Si l'offre est supérieure à la demande, les prix vont baissés et la demande va augmenté ce qui va faire ré augmenter les prix. Prenons l'exemple d'une entreprise, si le prix du quota est plus élevé que le prix de dépollution de son entreprise alors elle va payer pour dépolluer donc le marché de quota par son prix plus élevé aura permis de réduire la pollution. C'est peut être le cas en 2011 lorsque le quota de la tonne de CO2 était à 17 euros. De plus, certaines entreprises font du bénéfice grâce à ses quotas car si elles ne polluent pas ou en moins grande quantité elles vont pouvoir vendre ses quotas et donc en tirer du bénéfice. Le marché de quotas est un système efficace d'un point de vue économique car la pollution baissera sinon le coût de production va s'élever et nuire à la compétitivité des producteurs.

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