Qu’attendons-nous pour être heureux ?

Philosophie

Qu’attendons-nous pour être heureux ?

propre à chacun même si l’on a des désirs qui peuvent être semblable. Mais on attend souvent que le bonheur vient à nous alors que Jean-Jacques Rousseau dans Émile ou De l'éducation « Tout homme veut être heureux mais pour parvenir à l'être, il faudrait commencer par savoir ce que c'est que le bonheur. », Rousseau indique que l’homme cherche à être heureux comme si cela était son but cependant il indique que pour y arriver il devra savoir ce qu’est le bonheur, l’homme n’est donc pas dans un état passif mais actif. Cette attente serait alors avant tout l’espérance. Christophe Maé dans sa chanson Il est où le bonheur ? y décrit la quête de la recherche du bonheur, à travers diverses actions, qui peut nous échapper ce qui est contradictoire avec le fait d’attendre d’être heureux c’est-à-dire toujours reporter à demain. Alors qu’attendons-nous pour être heureux ? Ou alors nous sommes déjà heureux et des événements nous rendent malheureux ? L’attente ferait-elle partie de notre bonheur ? Nous allons alors nous interroger sur ce problème, en s’interrogeant sur l’utilité de l’attente dans le bonheur et ses risques.

Être heureux peut se traduire de diverses façons, mais c’est avant tout un état de satisfaction qui est donc psychique et non pas physique. Mais être heureux peut être le résultat de multiple satisfaction de désirs qui nous procurent du bien et nous apporte du bonheur. Le bonheur lui est un état d’esprit qui est individuel.

Par conséquent être heureux est un état d’esprit et le fait d’attendre passivement le bonheur est un choix, on choisit de ne pas être heureux. Voltaire dit « J’ai décidé d’être heureux car c’est bon pour la santé » le verbe décider qu’il utilise montre que c’est un choix et que la conséquence sera d’avoir une meilleure santé.

On peut aussi émettre l’hypothèse qu’on est dans l’attente d’être en mauvaise santé pour décider d’être heureux afin d’améliorer celle-ci. L’attente traduirait alors un état passif qui ne fait que reculer sans cesse le moment où l’on veut être heureux tant que l’on n’est pas sous

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