La liberté.

JLorsque nous disons que la notion de liberté doit être envisagé d'un point de vue de la nature humaine, nous voulons dire par la si notre volonté est indépendante ou si elle est gouverné par des influence que nous ne maîtrisons pas.

On peut en effet considérer que nous sommes libre par certainement d'influence qui présent a nos choix. Notre histoire, par ex, en est la preuve puisque nous ne choisissons pas le lieu où nous sommes nés ; nous ne choisissons pas non plus le milieu dans lequel nous sommes nés. D'eux-mêmes on peut admettre que nos idées et/où nos pensées sont influencés par d'autres : très souvent nous sommes gouvernés par des préjugés et nous croyons qu'ils sont vrai parce que nous sommes incapables de prendre conscience que nous sommes en influencer. Pour autant, ne peut-on pas admettre que nous sommes libres malgré tout et que tous les influences sont en fait des moyens de nous libérer?

Pour réfléchir à la notion de liberté dans son rapport aux lois certains philosophes ont envisager l'hypothèse de l'état de nature. Cet hypothèse leur a permis de comprendre ce que aurait pu être la vie des hommes en dehors des lois et de la société. Cela leur a permis de mesurer le chemin parcouru entre cette état de nature et l'État civil et social. Cela leur a aussi permis de mieux justifier le rapport nécessaire entre liberté et loi.

On peut définir l'état de nature comme un état où les hommes sont gouvernés par la force et besoins. C'est où la liberté n'existe pas puisqu'elle est soumise à l'arbitraire de la force. Chez Rousseau les hommes vivant séparer les uns des autres et ne se côtoient que très rarement. Chez d'autres auteurs comme Hobbes les hommes sont dans l'état de guerre les uns contre les autres. Hobbes -> "L'homme est un loup pour l'homme".

Or les hommes recherchant généralement la liberté et la paix et c'est par le biais du contrat social que les hommes quittent l'état de nature pour accéder à l'État civil. Dans l'État civil ce qui prévoit c'est, non pas la force, mais le droit et la justice c'est-à-dire que les hommes entretiennent des rapports entre eux par le biais des lois qui proviennent de la "volonté générale" (Rousseau) ou du souverain (Hobbes).

Nous avons donc vu qu'il y a un lien entre liberté et loi à partir du contrat social que propose Rousseau. De même on peut considérer qu'il y a un lien entre liberté loi et justice puisse que la liberté et la loi sont les conditions de la justice. On peut définir la justice comme une égalité arithmétique de telle sorte que chacun reçoivent la même part que les autres. La justice est donc une égalité avec mythique mais puisqu'elle se fonde sur la loi on peut se demander comment, la justice peut-elle être juste puisque la loi représente toujours à généralité ?

Cette difficulté a été soulevé par Aristote qui a distinguer la justice et l'équité. Aristote définit l'équité

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