La liberté
Dissertation : La liberté. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar l.charbonnier • 2 Novembre 2022 • Dissertation • 1 095 Mots (5 Pages) • 215 Vues
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Philosophie Terminale5
Dans la vie de chacun d'entre nous, nous pensons être libre lorque l'on peut advenir à une envie par l'action de notre pensée sans qu'il n'y ai aucunes contraintes pour nous en empêcher ; l'Homme a la possibilité de choisir ses actions seulement dont il est capable quelque en soit la fin/conséquence.
Dans ce texte, Simone Weil s'intéresse à la liberté véritable. Nous allons donc voir comment l'Homme peut-il réellement pratiquer sa liberté. Simone Weil affirme qu'il faut réflechir à sa propre action, plutôt que d'avoir la simple illusion d'un désir d'action.
Premièrement, l'auteur affirme qu'elle voit en la liberté véritable, un rapport entre la pensée et l'action avec le fait d'y porter une refléxion dessus et un jugement ; pas juste du désir à l'exercer pour sa propre satisfaction. Simone Weil propose à l'Homme de réflechir sur une potentielle fin à son action libre . Puis ensuite, elle renie le fait de la propre humilation de L'Homme car c'est lui-même qui agit de sa possibilité (naturelle ou légale) de ce qu'il choisit de faire.
Ici, Simone Weil exprime un rapport entre la pensée et l'action de n'importe quelle personne pour définir sa réelle liberté. Elle définit donc, subjectivement, que le fait d'être libre doit être exercé par le fait de d'abord faire naître l'idée de ce que l'on souhaite faire, en faire donc une représentation psychique, pour qu'ensuite la causalité de ceci entraîne à l'action de produire son ''idée''. Mais tous ceci en ayant une réflexion aboutis sur les proportions que pourraient prendre notre choix. Je vais prendre l'exemple de la série Squid Game, dans laquelle des personnes fauchées sans objectif de vie se retrouvent à avoir le choix de participer à un jeu dans lequel ils peuvent devenir riche seulement s'ils arrivent à être le dernier survivant sur 456 joueurs (les perdants sont tués). Au début, ils se rendent vite compte qu'ils sont responsables de la mort de beaucoup de personnes donc décident, à la majorité de partir de ce jeu. Mais une fois retourné à leur vie ''minable'', étant libre de leurs choix et ayant refléchis à deux chemins/possibilités : ''Je retourne à ce jeu pour tenter de devenir riche quitte à oter la vie à des centaines de personnes, ou m'oter la vie'' ou ''Je reste à cette vie pauvre et sans avenir''. Et bien la majorité qui avait souhaiter quitter le jeu une première fois, font le choix d'y retourner en connaissant la possible fin/ possibles conséquences. Le rapport est ici : entre le choix d'y retourner ou non en ayant réflechis, et l'action d'y retourner. Et ici, les personnages ne disposent pas de la certitude d'un désir/satisfaction car ils connaissent la probabilité de réussite.
L'action est une finalité à la pensée, Simone Weil pousse a la réflexion pour pouvoir choisir librement, il faut penser aux différentes possibilités d'action et effets probables pour pouvoir éventuellement les anticiper, c'est pour cela que le rôle de la pensée ici est important pour ne pas survenir à agir ''bêtement'' par simple désir ; la satisfaction étant une chose dans plusieurs cas pas atteignable par causes de lois ou naturelles (fautes de moyens,à cause des lois naturelles/de la gravité..etc). Cette thèse ne marchant pas sur des exemples comme ''pile ou face'' car ce sont de faux choix, ou les alternatives sont équivalentes, la pensée ne peut donc pas agir pour choisir l'un plus que l'autre. Or dans la vie , les situations ne sont pas équivalentes comme nous l'avons vu dans l'exemple de la série. La pensée pourrait aussi exiger un certain taux de connaissances pour faire un choix quelconque plus éclairé ; le choix plus libre possible serait un choix auquel nous aurions les connaissances totales et parfaites et connaîtrons les conséquences futurs exactes ( ce qui est donc impossible).
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