Explication de texte, Spinoza.

La nécessité d'un pouvoir de souveraineté et tout d'abord selon Spinoza la conséquence du choix des hommes. En effet dans la suite du texte il formule en fait que que l'homme est libre de choisir ce qu'il veut que toute solution est possible car il énonce les les différentes formes de pouvoir que peuvent prendre l'État, donc les différents pouvoirs de souveraineté qui sont donc la démocratie quand il énonce "le pouvoir appartient soit à tous collectivement", l'oligarchie quand il dit « soit à quelques uns », et enfin la monarchie quand il énonce « soit à un seul ». Spinoza rend en faite compte qu'il n'y a pas de choix préconisé car il y a différentes propositions, ce qui fait que ce sera l'homme qui choisira qui ce qu'il préfère pour sa société et sa liberté.

Spinoza rend ensuite compte de la formation de l'État, il énonce en faite qu'on ne peut pas vivre subjectivement en dehors de tous car l'État est un groupe de gens qui essayent de faire des concessions ensemble. Spinoza fait face à cette situation en expliquant qu'il est impossible que tous soient d'accord ensemble car les hommes sont tous différents et leur "libre jugement", comme il dit "est extrêmement divers" et donc que la formation d'un État est nécessaire est indispensable pour leur liberté d'expression. Il énonce ensuite le fait que personne ne pourrait vivre en paix si l'homme n'agissait que selon sa volonté et sa pensé, car ça donnerait une forme de pouvoir égoïste qui est en fait l'anarchie comme par exemple le nazisme qui imprègne ses idées dans les cerveaux et effectue un bourrage de crâne et qui écrase toutes pensées qui pourrait le contredire. Spinoza suppose donc qu'un état doit être fondé sur le dialogue dont chacun doit se mettre d'accord.

Cette dernière idée est en fait le principe de la liberté d'expression.

Mais cette liberté d'expression possède en réalité des limites qui contredisent le principe de la liberté. Quand Spinoza évoque le renoncement au droit d'agir par son propre décret, il énonce en fait que l'homme n'agit pas comme il en a envie, il agit selon un cadre imposé par l'état, qui lui est censé garantir la liberté d'expression. Les principes de l'État par rapport à cette liberté sont donc contradictoires. Cependant si l'homme agit pas comme il conçoit il possède tout de même le droit de raisonner et juger. Nous pouvons nous référencer à Pascal, qui énonçait qu'il ne fallait pas croire que les nobles sont supérieurs au peuple, mais qu'il fallait tout de même les honorer car les nobles en fait on a eu la chance de naître au bon endroit, même si nous connaissons la vérité. L'idée dont Spinoza se fait de la vision de l'Etat par rapport à la liberté d'expression, et qui est la même que celle de Pascal, est en fait que, temps que cela n'affecte personne, un individu a le droit de juger ouvertement.

Ces limites sont aussi aussi basées sur la raison de l'État et de l'homme qui est le fondement du jugement et de l'opinion de l'homme mais cette raison doit se taire à propos des limites de la liberté

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