Auguste Comte Cours de philosophie positive
Commentaire de texte : Auguste Comte Cours de philosophie positive. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tiph5333 • 8 Janvier 2020 • Commentaire de texte • 1 317 Mots (6 Pages) • 1 672 Vues
Auguste Comte, fondateur du positivisme (les sciences positives sont appelées à fonder la philosophie) écrit en 1830 “Cours de philosophie positive” qui est une œuvre philosophique qui porte sur le thème des sciences et du besoins que les être humain en ont.
A travers l’extrait l’auteur y dévoile sa position où il nous invite à satisfaire notre besoin de connaître. Il s’agit alors de se demander si il est nécessaire d’expliquer des phénomènes par des conceptions scientifiques pour satisfaire notre besoin de connaître ou si on peut tout simplement se rapporter aux explications théologiques sans connaître. Nous verrons dans un premier temps l’explication du principe des sciences. Puis dans un deuxième temps nous verrons l’importance du besoin de connaître. Et enfin dans un dernier temps nous verrons le rapport à la religion.
Pour commencer,
Auguste Comte, commence par définir l'utilité des sciences. Dans la première ligne, Comte nous explique que les sciences sont utilisé en tant que “services”, c’est à dire qu’elles deviennent des prestations de mise à disposition de capacités technique ou intellectuelle pour les “industries”. C’est à dire pour des ensembles d’activités économiques produisant des biens matériels, qui utilisent donc “les théories scientifique”. Les théories scientifiques se définissent donc comme un modèle d’Univers pour toutes la réalités matériel, c’est à dire la représentation de la réalité matériel et plus précisément du fonctionnement de l’univers. C’est donc la connaissance de la réalité matériel. Ensuite l’auteur rappelle que “la puissance” qui est le pouvoir de faire quelque chose, d’imposer son autorité, est proportionné à “la connaissance” qui est définit par le fait de considérer qu’un jugement est vrai ou faux et d’être capable de le prouver. Un jugement est le simple fait d’associer certains concepts entre eux. Donc si notre connaissance augmente, alors notre puissance augmentera en fonction. Mais la première utilité des science n’est pas celle-ci. En effet, Auguste Comte, nous explique que le principe premier des sciences qui est la connaissance claire et certaines de quelques choses, n’est donc pas de servir les industries mais d’avoir une utilisation “plus directe et plus élevée”. La connaissance des sciences a donc pour principe premier, de “satisfaire” c’est à dire de répondre, d’accomplir un besoin par exemple et de ressentir un sentiment de joie. L’auteur nous explique alors qu’est ce qu’elle satisfait. Elle a donc pour but de combler le “besoin fondamental” qui est, ce qui est nécessaire au bon fonctionnement d’un être vivant, de notre intelligence de connaître “les lois des phénomènes”. On peut définir “les lois des phénomènes” comme des normes générale qui s’imposent à l’homme pour la manière dont des choses se manifestent à la sensibilité des êtres.
Donc d’après l’auteur, le principe premier des sciences est de satisfaire notre besoin de connaître pour expliquer des phénomènes par exemple et d’augmenter notre puissance. Et non pas, forcément de servir les industries.
-> Dans la première partie, les sciences sont donc définis en nous expliquant que l’on en a besoin pour nous satisfaire intellectuellement sans nous expliquer réellement pourquoi. On peut alors se demander quel serait les conséquence d’une non satisfaction de notre besoin de connaître.
Ensuite,
Auguste Comte définit l’importance du besoin. Tout d’abord par “profond” qui signifie ici une chose très grande, extrême, difficile à atteindre puis ensuite par “impérieux” qui est quelque chose qui force à céder, auquel on ne peut pas résister. Donc un besoin est quelque chose d'extrême, difficile à atteindre auquel on ne peut pas résister. Ensuite l’auteur nous donne des arguments pour montrer qu’il est important de satisfaire son besoin de connaître.
Il utiliser le moyen de la penser, qui est une activité physique qui associent des perception venues des senses à des processus pour apprendre, agir ou créer. Il y associent le terme “un instant”
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