Projet personnel et professionnel

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Sommaire

1. Introduction :

« Que sais-je » est une collection de livre fondé par Paul Angoulvent dans cette collection se trouve l’ouvrage « La logistique » écrit par Hervé Mathe et Daniel Tixier deux professeurs à l’ESSEC. Dans cette nouvelle partie de mon ppp le but est d’élargir ma culture dans le domaine du transport et de la logistique. Pour cela j’ai choisi un ouvrage et trois articles tiré de Europress une base de données professionnel. J’ai décidé d’organiser mon développement en trois parties. La première partie sur l’ouvrage qui contient deux sous partie, en premier j’explique les différentes raisons qui m’ont poussé à prendre ce livre en particulier et secondement les différents commentaire et observation relevé pendant ma lecture. Ma deuxième partie est une réflexion sur trois articles de presse trouver dans la base de données de Europress. Ils doivent servir à s’orienter d’développer ma connaissance sur le monde du transport et de la logistique. Pour finir, la synthèse PPP qui sert d’étape pour voir si mes idées ont changé par rapport à la première partie de mon Projet Personnel et Professionnel et les spécialités dans lesquels j’aimerais poursuivre mes études.

1. Ouvrage :

1. Pourquoi j’ai choisi cet ouvrage ?

J’ai choisi ce livre parce que dans un premier temps sa couverture m’a attiré, la collection que « sais-je » donne tout de suite l’impression que ce livre est va parler de la logistique de manière détaillé tout en étant compréhensible pour tous ceux qui veulent s’intersecter à ce domaine. En suite je ne suis pas un grand lecteur ce livre de 130 pages environ me paraissait plus adapté. Avant de choisir l’un des quatre ouvrages j’ai bien évidement lu les résumés sur la quatrième de couverture.

Commentaire sur l’ouvrage :

1. Articles :

1. « Nom de l’article »

Le première article que j’ai choisi porte sur un sujet environnemental qu’est l’émission de gaz CO2. Ce gaz est relâché par les divers transports, ils proviennent de la combustion de carburants. Les émissions liées à la circulation routière incombent de 56% aux véhicules particuliers, de 23% aux poids lourds et de 21% aux véhicules utilitaires légers comme les VL charger des livraisons en centre-ville. Nous avons vue dans la matière transport routier que les véhicules sont soumis à des réglementations. Les vignettes critères classe les véhicules du critères électriques jusqu’au plus polluant. Notre intervenant nous à ensuite parlé des innovations permettant de réduire cette pollution et notamment en utilisent l’hydrogène en substitue au carburant classique. Ce sujet ne rejoint la première partie de mon PPP pourtant je l’ai choisi pour plusieurs raisons. La première étant que j’aime les nouvelles technologies et les innovations, je trouve fascinant qu’avec la science nous puissions parvenir à améliorer le transport pour qu’ils soient plus propre et plus rentable à l’avenir. Deuxièmement nous sommes dans un monde ou les conditions de vie se dégradent à cause de la pollution, on entend parler tous les jours des risques et surtout ce que cela engendre sur l’environnement. Nuage de pollution, particules fine, continent de déchet, destruction des fonds marins etc… Voilà les raisons qui mon données envie de prendre cet article. Je prends dans ce cas le transport routier puisque c’est celui que nous avons abordé en cour avec notre intervenant. Je me suis demandé si dans un avenir proche il ne faudrait pas passer tous les modes de transport de polluant à énergie renouvelable, ensuite j’ai préféré choisir l’hydrogène même s’il faut deux fois plus d’énergie qu’un moyen de transport électrique parce que l’hydrogène est stockable et nous pouvons en fabriquer à partir de beaucoup d’énergie déjà existante comme l’éolien, le solaire, les énergies faucilles et la biomasse. Un autre facteur qui m’a fait choisir l’hydrogène plutôt que l’électrique et que la production des batteries de voiture sont très couteux en métaux rare et non recyclable une fois remplacé. La récolte de ces métaux est très critiquée, en ce moment mêmes les mineurs chargés de récupérer ces minerais risquent leur vie en échange d’un salaire trop faible pour vivre et c’est cette exploitation qui permet la création des appareils électriques que nous achetons.

 « Depuis le premier Janvier un règlement européen entre en vigueur pour encadrer l’extraction des minerais nécessaires à la fabrication des smartphones et batteries, source de conflits armés et de travail forcé, notamment des enfants. »

Source inter France : L'UE mettra-t-elle un frein à l'exploitation des ouvriers qui extraient les minerais pour nos smartphones ? (franceinter.fr)

Voila pour ce qui est du choix de l’article et des influences que peuvent avoir ces technologies sur notre environnement et aussi pour toutes les personnes qui doivent exploiter les ressources nécessaires à la fabrication.

Cet article provient de la base de données Europress qui donne des articles professionnels, nous avons un accès gratuit fournis par l’académie. J’ai cherché dans un premier temps des articles parlant de noucelle technologie dans le transport et la logistique mais il y avait trop d’article varié. J’ai donc orienté mes recherches seulement dans le transport et finalement je suis tombé sur des articles parlant des énergies renouvelables, pour finir j’ai donc utilisé les mots clés suivant « transport » ; « technologie » ; « hydrogène ».

Dans cet article de SUBTIL Romain datant du 28 octobre 2020 il est présenté le commencement du passage de la Suisse à l’hydrogène. Effectivement Hyundai produits des camions à hydrogène, « D'ici à la fin de l'année, cinquante camions de ce type auront été mis en circulation. » L'objectif et d'avoir un grand nombre de camions à hydrogène pour émettre le moins d'émissions sur les parcours entre les entrepôts. Le directeur général de Hyundai France explique qu’avoir un moyen de transport avec 0 émission est très convoité par les gérants de grandes surfaces alimentaires. Cela deviendra un argument de vente valorisé de plus de plus à nos jours comme le bio, ne pas utiliser de pesticide ou encore ne pas faire d’élevage intensif. Ces livraisons seront saines et bonnes pour l’environnement. Actuellement 98% des camions roulent au diesel et « Aujourd’hui, 20% des émissions de CO 2 dues au transport viennent des poids lourds » rappelle Marc Antoine Eyl-Mazzega le directeur du Centre Energie et Climat de l’Ifri (institut français des relations internationales). La mobilité à l’hydrogène et née en Asie. L’électricité coute cher et tous les pays cherchent à réduire leurs dépendances aux importations de pétrole. L’hydrogène à comme autre atout une autonomie et un temps de recharge quasiment équivalent à ceux d’un moteur thermique. C’est un critère important pour les transporteurs car l’immobilisation d’un camion représente un cout énorme. Dans un premier tant les véhicules à hydrogènes vont être produit dans le secteur du transport pour les flottes « captive » donc pour ceux qui font toujours les mêmes trajets avec un parcours bien définie puisque la quantité de carburant ne devrait pas trop varier d’une livraison à une autre. Dans les flottes « captive » on retrouve donc la plupart des bus comme les bus scolaires ou les lignes de bus en ville, les engins de collecte de déchets et les camions. Cette partie peut faire écho au chapitre 3 de mon ouvrage qui se nomme « Considérer le client comme le plus précieux capital et rechercher la satisfaction totale de ses attentes ». Les avancées technologiques permettent de répondre d’une meilleure façon au client mais aussi que celui-ci puisse avoir un suivie sur la marchandise. C’est le service client, nous cherchons à donner la possibilité de suivre toutes les étapes de modification du produit. L’optimisation parfaite serait de pouvoir suivre la commande client avant sa création, pendant et après même que la commande soit livré. Tout cela pour faire une étude de la demande et comprendre le marché. Dans cet article nous sommes dans le cas ou la marchandise est en train d’être transportée. Le service client reste disponible même pendant la phase de transite entre l’entrepôt de production et l’entrepôt de l’entreprise donc le client. Les clients désirent savoir en permanence où se situe la marchandise. Dans ces nouveaux camions à hydrogène à la pointe de la technologie il est possible de tracer par satellite le convoi. Beaucoup de ces nouvelles technologies permettent d’améliorer le service client par le tracking, le conducteur reste joignable tout au long de sa course. Toute des technologies permettent un service de transport satisfaisant pour le client qui se sentira rassuré quant à la sécurité de la marchandise.

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