LE CAFÉ KENYAN BIO ET EQUITABLE
Rapport de stage : LE CAFÉ KENYAN BIO ET EQUITABLE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jzisbsu • 21 Mai 2018 • Rapport de stage • 400 Mots (2 Pages) • 559 Vues
LE CAFÉ KENYAN BIO ET EQUITABLE
Origines :
Dans les débuts des annèes 1880, l’Angleterre importait le café surtout aux Indonésiens et Ceylan. Mais ces années sont touchées par une épidémie de rouille qui dévaste les plantations cingalaise. Les grossistes britanniques se ruent alors vers le café Brésilien. Mais problème, celui-ci ne se trouve pas dans la zone “livre sterling”, qualié inférieur, et sensiblement moins bon. Les missionnaires plantés en Afrique répondent alors à l’appel des Anglais pour développer leurs colonies au Kénya. Le café se cultivé surtout dans deux districts : Busia et Siaya. Les terres sont réparties en zones écologiques ( de 1400m à 2000m d’altitude, selon leurs positions sur l’échelle pluviométriques et thermométriques). On y retrouve plusieurs variétés indigenes du café: coffea eugenioides, coffea zanguebariae, coffea Arabica L. Dès 1905 une 2ème plantation a été inaugurée par le Gouverneur à Kiambu (province du Kenya) avec 2000 plants, dans le sud du pays Gikuyu. Depuis la Tanzanie, la culture de rente va apparaître au Kenya via des plants de cafés Bourbon (mutant récessif de Coffea Arabica) préséléctionné sur l’île de la Reunion.
Caractéristiques :
La pression démographique et la pression du monde d’agriculture colonial bouleverse tout. Conséquences, on passe d’une surface de 2,7 hectares par famille à 1,4 hectare en 15ans. Dans les années 80, la production annuelle était de 130 000T de café maos chute à 60 000T, cause: desertification et appauvrissement en resource d’eau. Impact donc sur le prix du café, le Kenyan AA+ (haute qualité) se vend à plus de 375$/50 kilos. Le gouvernement a donc define différents axes de travail avec l’introduction et diversification avec de nouveaux plants moins fragiles grâce au support de l’Institut de recherche du café, avec la subvention des engrais pour les petits agriculteurs, aussi un soutient à la transformation sur place, aujourdh’ui plus de 90% de la production est expédiée “brute”. Par le développement de solutions écologiques, et par l’utilisation de l’énergie solaire. Une autre ressource à base de café est en train de faire surface au Kenya : l’utilisation des coques (cascara) de grains de café pour en faire du combustible. Cultiver un café biologiqque demande un entretient minutieux : leaguer les caféiers pour renforcer la puissance, les rendements. Le commerce tend à restaurer l’équilibre écologique et permet un bond en avant de la qualité du café et plaisir dans la richesse et la diversité des saveurs.
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