Guerre Ukraine/ Russie
Analyse sectorielle : Guerre Ukraine/ Russie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sinayrt • 3 Mai 2022 • Analyse sectorielle • 1 069 Mots (5 Pages) • 676 Vues
- Fiche de lecture
Titre : Crise en Ukraine : terrain miné pour l’axe Moscou-Pékin
Au début de cette article, les journalistes nous montre l’alliance Chine-Russie en exposant plusieurs déclarations des deux dirigeants tels que « c’est mon meilleur ami » ou comme le dit M. Yi ( Ministre des affaires étrangères) « ce n’est pas une alliance, mais c’est encore mieux que d’être alliés », ou par le fait qu’ils aient fêté en 2019 l’anniversaire de M. Xi au Tadjikistan lors après une Conférence les journalistes nous font alors remarquer que peut-être M. Xi aurait parlé avec M. Poutine par rapport au conflit Ukrainien et notamment des 100000 soldats placés à la frontière de l’Ukraine avant le début des JO d’hiver de Pékin. On apprend que M. Poutine était présent à l’ouverture des JO où la Chine dit être contre l’agrandissement de l’OTAN. Le journaliste nous explique enfin l’envie de M. Xi de raviver l’amitié entre les deux pays qui avait été brisé à cause de la chute de l’URSS.
Les journalistes nous montrent ensuite la rupture entre les deux géants communistes. Avant l’arrivés de Xi Jinping au pouvoir les relations entre la Chine et la Russie étaient conflictuelle, en effet en 1969 il y a eu des conflits armés se qui a rapproché la Chine et les États-Unis. Dès l’élection de Xi Jinping décida de faire un déplacement en Russie en 2013 afin de redonner naissance aux liens sino-russe, il fait plusieurs déclarations pour monter l’importance de ces liens. Même si déjà en 2003 et 2005 des accords avaient été signés. La connivence sino-russe sur la scène internationale est née grâce à la monter en puissance du régime de Vladimir Poutine l’éloignement de la Russie avec l’occident et la rivalité sino-américaine selon M. Cabestan. La Chine a même réagi avec une neutralité bienveillance en 2014 lors de l’annexion de la Crimée et 2016 Xi Jinping tient des propos mélioratifs en parlant de l’alliance entre son pays et la Russie. Les journalistes nous montrent ensuite que les alliances sur le plan énergétique et défensif permettent en effet, comme l’avait dit Xi Jinping, de se soutenir dans le bon règlement des affaires internes, le développement et la monté en puissance.
Par la suite, les journalistes nous montre qu’aujourd’hui les deux puissances sont de nouveau alliées mais dans un nouveau monde. Ils ont mis en place un partenariat pour les médias, si on cherche Ukraine sur un moteur de recherche chinois le première article est russe. De plus, à l’Assemblée générale des Nations unies, la Chine a décidé de ne pas prendre parti sur l’offensive russe ; la Russie insiste sur l’importance de la collaboration des deux pays dans le monde d’après-guerre. Certains experts pensent que cela déplacerait le centre économique du monde de l’Occident vers l’Eurasie et certains pensent donc à déplacer le capitale Russe en Sibérie, et on pourrait penser que la Chine permettrait peut-être à la Russie de s’ouvrir diplomatiquement et donc affaiblir les sanctions. Un politologue pense que les sanctions sont trop fortes pour que le commerce avec la Chine compense. On apprend ensuite que la tendance c’est inversé la Chine a aujourd’hui largement dépassé la puissance Russe. La Chine a pour projet de mettre en place une nouvelle route de la soie, et la Russie n’est pas très enthousiaste face à ce projet. Mais les deux puissances ont le même objectif affaiblir la puissance des Etats-Unis. De plus les échanges sino-russes ne cessent d’évoluer de façon exponentielle, mais la Russie dépend de la Chine et la Chine ne dépend pas de la Russie. Enfin l’alliance tient sur trois points importants : la paix, le développement et un soutient.
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