«Spleen – Quand le ciel bas et lourd» Rédaction de l'introduction, du 1er paragraphe de développement, de la transition et de la conclusion du commentaire .
Commentaire de texte : «Spleen – Quand le ciel bas et lourd» Rédaction de l'introduction, du 1er paragraphe de développement, de la transition et de la conclusion du commentaire .. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Meliodas • 27 Janvier 2021 • Commentaire de texte • 1 371 Mots (6 Pages) • 723 Vues
«Spleen – Quand le ciel bas et lourd» Rédaction de l'introduction, du 1er paragraphe de développement, de la transition et de la conclusion du commentaire .
« Quand le ciel bas et lourd… » est le dernier d’une lignée de 4 poèmes intitulés Spleen (dans la section Spleen et Idéal).Ou l’on retrouve la solitude et l’ennuie qui s’abattent sur le poète .Cette section évoque le poète, entre la
recherche de l’idéal et l'attirance pour la mort, ce déchirement est présent chez Baudelaire sous la forme du Spleen. Le poème "Quand le ciel bas et lourd" exprime cette sensation de malaise, d'angoisse qui n'a pas de cause et qui cause la mélancolie.. C’est poème composé de 5 quatrains d’alexandrins de rimes croisées On y retrouve les mêmes thèmes que dans les autres poèmes du spleen mais ici, l’organisation de la montée de la crise est particulièrement forte. .
I- les étapes de la crise
a) la montée de la crise par l’enfermement.
Le poème est structuré de manière à enfermer peu à peu le poète-et le lecteur sans un paysage angoissant et horizontal. Tous les horizons du paysage se ferment et empêchent toute possibilité d’évasion:
Les 3 premières strophes sont des propositions subordonnées temporelles qui sont introduites par la conjonction « quand » qui créer une attente et accentue l’angoisse : le ciel devient un « couvercle » qui marque le début de l’enfermement horizontal avec le ciel «bas et lourd» qui nous encercle et l’obscurité prend le dessus sur le jour et s’abat sur l’esprit du poète avec l’oxymore « un jour plus triste que les nuits » . La terre est a sont tour l’objet de l’enferment du poète et ne laisse plus aucune échappatoire sur le sole et sur les cotés : « un cachot » .L’esprit est incarné par une chauve -souris qui essaye de lutter mais qui est rapidement enfermée a son tour : :« et se cognant la tête à des plafonds pourris» Ce ciel bas et lourd finit par créer des « immenses traînées » et devient les barreaux de ce cachot qui enferme verticalement le poète cette fois.
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