Le ciel bas et lourd de Charles Beaudelaire
Commentaire de texte : Le ciel bas et lourd de Charles Beaudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Emma Averly • 8 Février 2022 • Commentaire de texte • 620 Mots (3 Pages) • 443 Vues
Intro: Charles Beaudelaire, est un poète célèbre du 19ieme siècle. Nous allons étudier un poème qui se nomme le Spleen le ciel bat et lourd qui vient du recueil Les Fleurs Du Mal, qui reprend le mouvement littéraire du romantisme qui consiste en l’expression des émotions de l’auteur. Ce poème est disposé en vers , avec 5 strophes de cinq quatrains, dans ses strophes il y a des rimes croisées. Ensuite, il se trouvent que les vers sont irréguliers ; c’est à dire qu’il y a des vers en alexandrins et quelques décasyllabes. En quoi ce poème nous fait-il ressentir se qu’est le Spleen ? Nous allons dans un premier temps, nous intéressé au poème lyrique, et dans un second temps nous allons analyser le Spleen.
1: poème lyrique
1: le désespoir
Nous identifions le champ lexical du désespoir avec « gémissant »(v3),« triste »(v4), « espérance »(v6), qui reflète bien la détresse du poète.
En premier lieux au vers 6 « où l’espérance, comme une chauve-souris » le poète exprime que la chauve souris représente l’espérance, quelle aurait besoin d’obscurité pour exister se qui est négatif pour le mot espérance qui représente l’inverse de sombre.
En plus du besoin d’obscurité, au vers 7 nous pouvons repérer « de son aile timide » cela manifeste un manque de confiance de la pars de l’espérance au point qu’elle essaye de s’en échapper en plus de s’assommer contre les barrières invisibles et dépraver du désespoir.
On peux remarquer le champ lexical de l’enfermement avec « couvercle » (v1), « cachot » (v5), « prison » (v10), « barreaux » (v10).
La métamorphose du climat , renforce l’ambiance angoissante, avec le fait que le ciel est qualifié comme étant « bas et lourd » qui est identique au sentiment d'écrasement que ressent le poète. L’atmosphère angoissante est aussi fortifiée par l'oxymore du vers 4, avec « jour noir ».
De plus il y a une sensation d’enfermement verticale avec la comparaison de la pluie en barreaux « d’une vaste prison imite les barreaux », la pluie tombe verticalement se qui est équivalent au sentiment du poète qui se sens écrasé et renfermé.
2: Le spleen
1: défaite de l’espoir
On peux déterminer le champ lexical de la mort avec « corbillards » (v7), « drapeau noir » (v20), « vaincu » (v19), qui reflètent bien la défaite de l’espoir.
D’abord l'espoir est développé beaucoup plus rapidement que l'angoisse, elle prend beaucoup plus d'ampleur, ce qui fais deviner le fait que Baudelaire est captivé par l’angoisse. Ce qui crée une différence entre forte entre l’espoir et l’angoisse.
Ensuite on peux distinguer un palier avec plusieurs fin de plus en plus corsé sur le vers 8 et le vers 19. Le mot vaincu est placé en début de vers, se qui représente qu’il ne reste plus aucun espoir dans l’affrontement. Malgré l’espoir le poète perd se combat en finissant par « sur mon crâne incliné planté son drapeau noir ».
La triade des premiers quatrains, expriment le spleen comme un état maladif et asthénique que ressens
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