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La vitesse

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Par   •  10 Février 2021  •  Commentaire de texte  •  1 013 Mots (5 Pages)  •  618 Vues

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ROUÉ PAULINE                                                                        MCO2A

EXAMEN BLANC CULTURE GÉNÉRALE NOVEMBRE 2020

PREMIÈRE PARTIE : SYNTHÈSE

Depuis l’avènement de l’ère industrielle notre mode de vie est de plus en plus effréné que ce soit sur la route, au travail, dans nos loisirs mais la vitesse est-t-elle toujours positive sur l’individu ?

Dans son essai, « Ce que nous dit la vitesse », Jean-Philippe Domecq analyse le plaisir que la vitesse au volant peut procurer à l’homme. La photographie « Saut avec un quad pendant une course » de Jeffrey Van Daele illustre ce propos car le pilote du quad doit ressentir ce plaisir pendant sa compétition. Dans son roman « La lenteur », Milan Kundera démontre que la vitesse procure un état d’extase qui peut nous faire oublier qui on est. Au contraire, la fable « Le lièvre et la tortue » de Jean De La Fontaine montre que la vitesse est d’une inefficacité totale.

Nous verrons tout d’abord que la vitesse procure à l’individu beaucoup de plaisir puis nous verrons les risques de ce plaisir.

La vitesse est un réel plaisir, elle procure beaucoup de sensations fortes à l’homme.

Tout d’abord, la vitesse est associée à un objet que ce soit la voiture et la moto dans le roman de Milan Kundera, la Formule1 dans l’essai de Jean-Philippe Domecq ou encore le quad de la photographie de Jeffrey Van Daele.

On remarque que la vitesse procure de fortes sensations qui permettent de dépasser tous les possibles. Le conducteur du quad décolle le sol ce qui lui procure une sensation de vol, il peut se croire comme un avion le temps de quelques secondes. Le pilote de Formule1 qui lui maîtrise à la perfection sa voiture ce qui lui procure un plaisir de précision et lui donne l’impression de tout prévoir.

Aussi, Milan Kundera évoque même l’état d’extase qui est offert à l’homme.

Puis Jean De La Fontaine montre que la vitesse est naturelle et qu’elle existe aussi chez les animaux avec « Le lièvre et la tortue ».

La vitesse est dangereuse pour l’homme.

Tout d’abord, « La lenteur » appuie sur le fait que la folie des individus qui roulent trop vite n’ont pas conscience des dangers, la photographie de Jeffrey Van Daele illustre ce propos car le conducteur prend d’énormes risques. Jean-Philippe Domecq affirme que la vitesse fait perdre la raison et le contrôle de soit-même.

Aussi, la vitesse peut être agressive entre les individus lors des compétitions en quad par exemple avec l’envie de gagner qui prends le dessus puis le conducteur du roman de Milan Kundera qui veut à tout prix dépasser la voiture qu’il suit. Enfin le lièvre de Jean De La Fontaine qui montre son arrogance envers la tortue.

De plus, elle n’est pas toujours efficace car dans la fable « Le lièvre et la tortue » c’est la tortue qui s’en sort gagnante et toutes les personnes qui vont vite sur la route risquent chaque jour de perdre la vie ou de ne pas profiter des bons moments et du paysage.

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