La vitesse

Dans la société d'aujourd'hui, nous pouvons voir que la vitesse est retrouvé dans tous les domaines. Des voitures et des trains de plus en plus puissants partent de plus en plus vite. Ou une technologie qui vous permet d'être de plus en plus rapide efficace, nous montre l'omniprésence de la vitesse dans notre quotidien. Ce dossier il s'agit d'une vision d'un monde porté par la vitesse. Il se compose de quatre documents: :Un extrait de roman de Victor Hugo, Voyage en Belgique (1837), montre les effets d’une vision renouvelée que produit la vitesse sur le paysage par le train. Un tableau de William Turner, Pluie, vapeur et vitesse (1844), utilisant la perspective et crée une impression de mouvement et de vitesse qui renforce l’idée de vitesse changeant la perception visuelle du monde. Puis, un passage du poème de Blaise Cendrars, Prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France (1913), explique la dimension fascinante de la vitesse provoquant une alternance des rythmes, des sonorités déformant la réalité jusqu’au fantastique. Enfin, Un extrait d’article de Clément Chéroux, Vues du train, Vision et mobilité au XIXe siècle (1996) qui évoque le fait que le train modifie notre vision du monde et les arts visuels.

Tout d'abord, tous les auteurs font de la grande vitesse le résultat d'un rapport complexe et passionnant entre l'évolution du train et la transformation radicale du paysage. En effet, le train joue un rôle important dans notre perception du monde. Ce qui nous permet d'observer une autre perception de ce monde, nous amenant à découvrir d'autres horizons.

Victor Hugo montre une vu du paysage transformé par la vitesse qui donne une impression de vertige, car le paysage est animé alors qu’il est fixe. Et une sensation de vitesse soulignée par la stimulation sonore comme le bruit de la ferraille.

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