La vitesse

Doc A (Venayre)

Doc B (Garcia)

Doc C (Bilal)

Doc D (Hugo)

1. Au XIXe siècle, la révolution technologique des transports est marquée par la vitesse.

2. La rapidité des nouveaux moyens de transport maritime donne l’impression de raccourcir les distances.

3. Les pays occidentaux sont en concurrence : c’est à celui qui ira le plus vite pour faire du commerce → des courses à la voile ont lieu, dont les enjeux sont commerciaux.

4.Cette compétition est également présente dans le chemin de fer → altitude, vitesse, longueur des tunnels.

1. La société moderne nous propose de devenir « plus et mieux » que ce que nous sommes déjà.

2. L’intensité est partout, elle change notre rapport au monde. Nous y sommes habitués : tout doit être « intense ».

3. La société de consommation et la publicité nous poussent à atteindre un degré maximal dans notre vie et dans ce que nous pouvons faire.  

1. Les nouvelles technologies, surtout lorsqu’elles sont mal maîtrisées, nous font perdre nos repères et nous fragilisent.

2. La rapidité des nouvelles technologies s’inscrit dans une logique marchande qui nous pousse à augmenter notre consommation.

3. Les nouveaux médias et nouveaux outils de communication nous trompent sur la vitesse d’enchaînement et la gravité des événements.

4. La vitesse et l’accélération sont présentes dans tous les domaines, même celui de l’art.

1. La rapidité des nouveaux chemins de fer suscite l’enthousiasme et l’admiration de Victor Hugo (qui pourtant ne lui était pas très favorable au départ).

2. Le paysage se métamorphose et les sensations sont augmentées sous l’effet de la vitesse. Comme dans une œuvre d’art impressionniste, la réalité est transfigurée.

3. Le train permet de gagner beaucoup de temps et de transporter un grand nombre de voyageurs → les hyperboles employées à la fin du texte montrent que cette capacité est un peu effrayante.