La beauté de Baudelaire

La Beaute, les Fleurs du Mal
        Charles Baudelaire

Analyse lineaire :

•  Introduction :

Charles Baudelaire est un poke frangais du XIXeme siecle. II appartient a plusieurs

mouvements litteraires dont le romantisme, le symbolisme et le Parnasse.

II est ce « poke maudit » condamne a vivre dans un monde vil et trivial.

En 1857, Baudelaire publie une recueil de poemes devenu incontournable : « Les Fleurs du Mal ». 11 fut cependant victime d'un proces pour « immoralite o suite a sa sortie.
Le texte soumis a notre etude s'intitule « La beaute » et est tire de Ia section « Spleen et Ideal D. 11 fut inspire par Jeanne Duval, sa maitresse. Charles Baudelaire y fait une
presentation de la beaute, avec une allegoric de celle-ci, mais aussi en revelant un
monde intelligible.

Nous pouvons alors nous demander comment le poete parvient a delivrer tine image froide et ant ipathique du concept de Ia heaute.

Repondre a cette question, c'est tout d'abord etudier l'auto description egocentree faite par la beaute, puis c'est s'interesser a son rapport ambigue aux poetes.

•         Axe I   La beAut:    resse son autoportrait : (2 premiers qudtrains)

Personnification et Allegoric de Ia beaute : avec utilisation du pronom personnel « je » et de l'adjectif qualificatif « belle »== ici la beaute se decrit et prend Ia forme d'une figure feminine.

L'apostrophe « o mortels » montre que la Beaute est superieure aux hommes. Elle se place au dessus du commun des mortels.==orgueil/ton peremptoire
o chacun s'est meurtri a son tour » La contemplation de la beaute peut causer le trouble mais a la ligne suivante D, B. la presente comme une muse a l'origine de l'Sme des pokes : « inspirer au poete un amour »

Debut de ('utilisation du champs lexical de la divinite renforce idee de superiorite et souligne le cote hautain de Ia Beaute : « kernel »

Enjambement dramatique qualifiant l'amour du poete ; («kernel» indiquant qu'il ne se decourage pas, «muet», qu'il ne se plaint pas, qu'il reste digne)
Ad jecti fs qua 11 fica tifs « kernel et muet » poursuivent description et autoportrait de cette allegorie

Le second quatrain poursuit cet autoportrait « sphinx » se rapporte au champs lexical de la divinite.=== figure superieure

Ia Beaute continue a assener ses attribute, les oje» etant, comme dans une charade, marteles dans chaque proposition, avec encore plus d'orgueil.

Verbe « tremer » la positionne au centre telle une deesse hautaine « cceur de neige »== se vante de son insensibilite

Au vers 7, Ia Beaute exprime avec force We haiso) un sentiment, le refus du

otnouvement qui deplace les ligneso==sa volonte d'immobilite/autre caractere de la divinite.

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