Décrivez les principaux procédés utilisés par les auteurs pour commencer leur pièce dans ces trois scènes, et dites quels sont ceux qui vous semblent les plus efficaces pour intéresser le lecteyr ou le spectateur.

Question 1:

Le corpus comprend les extraits de Les Caprices de Marianne (1833) d’Alfred de Musset dont le thème principal est la tromperie, Claudio soupçonne sa femme Marianne d’avoir des amants. Également un extrait de Embrassons-nous, Folleville! (1850) d’Eugène Labiche et d’Auguste Lefranc où le thème premier est le mariage, Folleville ne veut pas épouser la fille de Manicamp, Berthe. Il veut épouser sa cousine Aloïse mais ne sait pas comment l’avouer à Manicamp. Et puis un extrait d’Ubu Roi (1888) d’Alfred Jarry avec pour thème principal la conspiration puisque Mère Ubu veut devenir reine de Pologne et tente donc de convaincre Père Ubu de conspirer pour renverser le Roi.

- Dans le texte de Musset le premier procédé est un début immédiat (in médias res) car le lecteur est directement dans l'action sans connaître se qu'il c'est passé avant. Ce texte commence par «Eh bien ! Ciuta, qu'a-t'-elle dit ?», On ne sait pas tout de suite de quoi parle Coelio, mais cela éveil directement la curiosité du lecteur qui a envi d'en savoir plus, cela nous plonge dans l'intrigue.

- Dans l’extrait de Labiche et Lefranc l'histoire débute par un monologue de Folleville, il explique pourquoi il ne veut pas épouser Berthe et son embarras envers le père de celle-ci.

Le lecteur va se demander comment folleville va gérer sa, si il va réussir a arriver a ses fin. C'est cela qui va intriguer le lecteur et lui donner l'envi d'aller plus loin.

Comme procédé il y a également de nombreuse didascalie comme : « dans le coulisse », « à part » qui aide à situer le lecteur. Il y a également de nombreuse rhétorique.

-Dans le l'extrait d'Alfred Jarry, le début immédiat est aussi utilisé mais se qui interpelle le plus est le langage familier utiliser des la première ligne : « Merdre ». A l’époque cela choquait le spectateur et l’interpellait car c’était une chose peu commune. Mais cela donne tout de même un effet comique au texte.

-La scène d'exposition qui pour moi me semble la pus efficace pour intéressée le spectateur est l'extrait de la pièce « Embrassons-nous Folleville » car le monologue de folleville nous rend curieux et nous donne l'envi de savoir si il va réussira a annoncer a manicamp qu'il ne veut pas épouser sa fille alors que celui ci lui montre toute son affection. De plus dans ce début de texte ont y retrouve les différents personnages qui sont présenter ainsi que l'intrigue, Il respecte bien les fonctions de scène d'exposition, contrairement au autre texte.

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