A toute vitesse

Perrichot-Chaussat Tim        

        Depuis deux siècles, les nouvelles technologies ne cessent d'évoluer et de se renforcer, les appareils technologiques rythment notre quotidien.

        Nous avons à notre disposition quatre documents, le 1er document est un article, sur le texte de  Sylvain Venayre, dont le titre est La révolution de la vitesse  apparu dans L'histoire en juillet 2016. Dans ce texte Venayre traite d'une étude historique consacrée à la révolution des transports et à ses enjeux au 19e siècle(document 1).A la même époque, dans une lettre extraite du recueil : En voyage, France et Belgique, publiée en 1837, Victor Hugo parle avec enthousiasme de la rapidité du chemin de fer, capable de transporter plus d’un millier de voyageurs à la fois(document 4). Alors que le texte de Tristan Garcia, dont le titre est La vie intense, une obsession moderne apparu dans Éditions Autrement, collection "Les Grands Mots" en 2016, évoque l’évolution de nos sentiments, nos émotions et de notre corps dans la société moderne où l’on recherche la maximalisation de notre être(document 2). Tout comme l’artiste Enki Bilal pose un regard critique et lucide sur l’accélération inexorable e notre rythme de vie, dans son entretien par Le Monde en 2011sur le titre On fait du surplace au beau milieu de l’accélération(document 3).

        On peut alors se poser la question: Dans quelle mesure l'obsession de la vitesse transforme t-elle notre conception de la vie ?

        Après avoir montré le besoin obsessionnel de vitesse par l’Homme pour améliorer son confort de vie, nous analyserons le caractère néfaste du mode de vie adopté

        L’Homme moderne ne connaît plus de limite grâce au progrès qu’il a accompli. L’accélération a provoqué une révolution, comme le rappelle l’historien Sylvain Venayre : il évoque ce qui a provoqué une nouvelle aire du transport. Les distances semble disparaître, les conceptions d’espace sont bouleversé. Notamment avec des nouveaux navires qui peuvent traverser des océans en un temps record. Dans cette continuité, Victor Hugo évoque aussi une nouvelle aire du transport mais de point de vue terrestre, où les chemins de fer permettent d’accéder d’un lieu de départ à un lieu d’arrivé, dans notre pays ou même hors frontière, en très peu de temps.

        De ce fait d’après Sylvain Venayre,  on assiste à « un déchaînement des passions ». En effet, ces innovations on déclenché un enthousiasme chez l’Homme,  des compétitions sont alors organisé. Le world record est un livre où les meilleurs record mondial sont inscrit(sport, activités…). L’esprit de compétition de l’Homme vise à visé plus haut, pour pouvoir peut être apparaître dans le world record. Le texte de Tristan Garcia évoque la même idée, où l’individue veut toujours plus en esperant le meilleur.

Tout comme Enki Bilal qui évoque l’intensification de la société a cause des nouvelles technologies.

        Pour autant dans une certaine mesure on pourrait penser que cette obsession de la vitesse ne transforme pas la conception que l’on se fait de la vie.

        La vitesse représente un grand enjeu pour l’Homme, mais elle s’avère dangereuse. Tristan Garcia explique qu’elle permet de répondre à nos besoins de consommation en intensifiant nos performance au mouvement.  Une nuance apparaît dans le texte de Enki Bilal, en disant que cela créer un paradoxe où les même générations se retrouvent en avance par rapport a celle qui ont dû prendre le train technologique en marche. Ces technologies maintenant rendent dépendant, ce qui est d’après l’historien Sylvain Venayre, une preuve de la domination du mode par la technologie, ce qui explique l’intérêt qu’on les états a les développer le plus possible.C’est dans la nature humaine de vouloir tout faire trop vite et de toujours vouloir plus que ce qui est déjà accessible, le progrès es alimenté par une illusion. Le philosophe Tristan Garcia traite du fait que l’on veut surpasser le besoin pour atteindre le plaisir intense. L’Homme veut atteindre la paix intérieure, avec plus de liberté en intensifiant nos émotions et tout ce que nous ressentons. Dans cette continuité, Sylvain Venayre dit que dans ces passions intense, les exploits fessaient l’objet d’un culte spectaculaire pour la révolution des transports. Une vision plus moderne de ce phénomène est mis en œuvre par  Enki Bilal, où les nouvelles technologies deviennent un fantasme quitte a polluer les idées rationnel.

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