Le rouge et le noir : Julien

Texte 1 : julien à la scierie, perdu dans ses livres

        en abordant le chapitre 4, le lecteur du rouge et le noir , ne sait que peut de chose du héro si ce n’est qu’il est le fils d’un charpentier et qu’il étudie la religion pour rentrer au séminaire. Après une présentation du lieux de l’action « Verière » et du contexte historique, Stendhal met finalement en scène son héro dans sont environnement familial.

Julien apparaît alors pour la 1er fois, dans la scierie de son père qui vient lui annoncer que le maire  veut l’engager comme précepteur. C’est l’occasion d’une confrontation riche en information entre un père rude et fils délicat est fragile.

On peut alors ce demander comment ce passage souligne la marginalité du héro et semble un moment important du roman.

Ainsi cette extrait nous montres un père et un fils en totale contraste. Avec julien qui n’est pas a sa place puis avec violence de son père qui se traduit dans les actes et dans les paroles.

Paragraphe 1

• l’entré de Julien n’est pas comme une entrée classique ( elle est remarquable car elle est retardée)
• dès le début on ne parle pas de Julien
• Stendhal donne une description du lieu, contexte familial (mise en situation)
• le père, force de caractère ( voix de stentor) → autorité
• les frères sont qualifiés de « géants »  → inqualifiable = comparaison, on insiste sur leur grandeur/ force/ robustesse
• la structure de la phrase est couper en plusieurs partie pour mettre en place la force de travail
• « travail lourd » → lourdeur des haches
• la  scierie apparaît comme une entre infernal
• « julien en haut » → « en haut »= loin de tout ça (séparation de deux mondes)
• l’endroit est assourdissant « ils n’entendirent pas la voix de leur père »
• julien ne respecte pas les faveurs paternels (désintérêt pour le travail)
• julien a donc un caractère aérien
• il y a une parabole est coupé de manière à faire comprendre que julien est indifférent au travaille de la scierie
• on remarque l’étroitesse d’esprit du père Sorel
• portrait de julien comme quelqu'un de mince : mannequin, un physique contrastant avec celui de sec frères.
• Son physique ne vas pas celui de ces frères ce qui montre une incompatibilité de julien avec les siens

paragraphe 2

• il ya une opposition entre le bruit de la scierie et la lecture de julien=
• le terme terribles voix de stentor va de paire avec le termes voix de stentor ce qui évoqué une voix menaçante
• la succession d’action fait par le père montre qu’il est vigoureux malgré son ages avancé,
• « coup violent » montre l’effet de sursise et la brutalité du père.
• La fait que le père perde l’équilibre montre qu’il ne ce possède plus
• la force du père est montrés car il arrive a rattraper julien de la main gauche

paragraphe 3

• le père Sorel qualifie le livre de maudit ce qui montrent qu’il a une aversion pour la lecture
• le termes perdre son temps montre que julien perd sont temps que la lecture est une action futile
• la concession quoi-que représente encore la violence du père
• pour julien, la pertes de son livre est plus importante que les violence qu’il a subit de la part de sont père. La lecture représente donc une vrais passions.

Paragraphe 4

• l’apostrophe « descends animales que je te parle » montre que les rapport entre pères est fils sont inexistant, il n’ il y a pas de respect
• la peur de julien est présente pas la phrase « dieux sait ce qu’il vas me faire »
• le terme « le plus » pour designer le mémorial de st Hélène, montres que c’est un livre hors normes.

        En somme, on découvre un héro complètement inadapté à son milieux, ou seule la force physique est valorisée. Il est donc détesté de ses proches : une charge pour sont père qui ne sait quelle emploie lui donner (julien est une honte pour ça famille est ses proches). Le lecteur s’attend donc un a départ inévitable de julien car il ne pourra s’accomplir  dans un tel milieux. On découvrira alors que l’énergie de l’âme pourra suppléer la force physique.

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